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Battery for Acer AS07B41

Posté le 23/9/2017 à 06:37 - poster un commentaire

Le contraste de 1080:1 est plutôt classique pour une dalle IPS, mais il ne peut rivaliser avec celui des meilleurs moniteurs VA qui dépasse 3 000:1, notamment dans le cas du Eizo Fortis FG2421.La dalle IPS offre des angles de vision très ouverts avec peu de variation de luminosité, que soit sur l'axe horizontal ou vertical. L'homogénéité de la luminosité sur la dalle est également bonne. L'écart moyen du blanc est mesuré à seulement 8 %. Enfin, nous n'avons constaté aucune fuite de lumière sur notre modèle de test.Pour ceux qui y sont sensibles, sachez que le MX27UQ n'utilise pas la modulation de largeur d'impulsion (PWM — Pulse Width Modulation) pour régler la luminosité. Il est donc dénué de scintillement. Asus propose également une option Blue Light Filter qui permet de limiter l'émission de lumière bleue sur plusieurs niveaux. La dalle IPS-Pro Ultra HD du MX27UQ est plutôt réactive (temps de rémanence moyen de 10 ms). L'overdrive est réglable de 0 à 100 via l'option Trace Free. Réglé sur 60, le moniteur offre un bon temps de réponse avec un léger effet de ghosting maîtrisé. Au-delà, le reverse ghosting est beaucoup trop présent et devient gênant.

Le retard à l'affichage (input lag) est mesuré à 9,7 ms, soit l'une des meilleures valeurs relevées sur un écran LCD. Le décalage entre l'envoi de l'image et son affichage à l'écran est imperceptible.Le moniteur Asus MX27UQ est compatible avec la technologie de fréquence adaptive FreeSync/AdaptiveSync. Asus ne fait d'ailleurs aucune mention de la technologie FreeSync et se contente de parler d'AdaptiveSync, mais les deux sont identiques. Cette technologie ne fonctionne pour l'instant qu'avec les cartes graphiques AMD Radeon, mais les contrôleurs graphiques des processeurs Intel seront compatibles dans un futur proche. À l'instar du G-Sync de Nvidia, le FreeSync d'AMD permet d'éviter les effets de déchirement de l'image lors de la perte de la synchronisation — le fameux tearing. Si l'on passe sous les 40 images par seconde (40 Hz), il est possible de constater des microralentissements (stutter), mais dans l'ensemble l'expérience de jeu est très bonne. Reste à disposer d'une carte graphique suffisamment puissante pour jouer en Ultra HD. Quand le moniteur se transforme en enceinte Bluetooth On s'en doutait et la première écoute n'a fait que confirmer nos doutes : ce moniteur fait une très mauvaise enceinte Bluetooth. Il n'est même pas au niveau de l'enceinte ultra-portable Philips BT2500 vendue moins de 40 €. Ce n'est donc clairement pas une fonctionnalité qui fera la différence. Le son n'est clairement pas son fort, que ce soit au niveau du rendu audio ou de la puissance.

C'est d'autant plus dommage que le concept était intéressant, surtout pour une utilisation dans le salon, et que la fonction Bluetooth en elle-même est bien conçue. Le jumelage se fait facilement en activant le Bluetooth sur le moniteur et ce dernier peut être utilisé comme enceinte même lorsqu'il est en veille. Le moniteur Asus Designo MX27UQ (750 €) est la version Ultra HD du MX27AQ. Il se distingue également de ce dernier par l'intégration du Bluetooth qui lui permet de se muer en enceinte Bluetooth (cf. encadré). Sa dalle IPS de 27 pouces affiche une définition de 3840 x 2160 px. Le Designo MX27UQ reprend les codes de la série MX et donc un pied circulaire chromé. C'est l'un des plus beaux moniteurs du marché et l'un des plus sobres. Il peut sans problème se fondre dans un salon grâce à son design épuré et ses finitions impeccables. La connectique va à l'essentiel : deux ports HDMI dont un seul compatible 2.0 (Ultra HD à 60 i/s), une entrée DisplayPort, une sortie casque et un port USB uniquement pour la recharge d'appareil. Le port USB peut délivrer 1,5 A (7,5 W) pour une charge rapide des appareils USB. Le moniteur embarque également deux enceintes de 3 watts exploitant la technologie Ice Power de Bang & Olufsen... tout un programme — cf. encadré.Nous avons mesuré la consommation du MX27UQ à 24 W sur notre mire de test (blanc calibré à 150 cd/m²), soit une consommation relative de 121 W bien supérieure à la moyenne des moniteurs testés (100 W/m²). L'activation du Bluetooth n'entraine pas de surconsommation. Petit détail qui peut avoir son importance : l'alimentation se situe dans un boîtier externe.

Par défaut, le moniteur Asus MX27UQ est plutôt bien calibré. La température moyenne est bonne (6670 K) et les couleurs sont fidèles (delta E moyen mesuré à 2,4). Seule la courbe de gamma ternit un peu le tableau avec une moyenne un peu haute (2,3), ce qui se traduit par des dégradés de gris un peu bouchés. En ajustant la luminosité à 51 pour obtenir un blanc à 150 cd/m² ainsi que la température sur "chaud" pour un rendu un peu plus chaleureux, l'image s'améliore encore. La température moyenne descend à 6330 K pour un rendu plus proche des 6500 K attendus et les couleurs sont encore un peu plus fidèles (delta E moyen à 1,9). Si la moyenne du gamma retombe à la valeur idéale de 2,2, la courbe n'est pas stable.Comme d'habitude, le passage par l'étape de calibration permet de stabiliser les courbes, notamment celle du gamma. La température est également plus stable et sa moyenne se place à 6370 K. La calibration est salvatrice pour le gamma qui affiche une courbe plus saine sur l'ensemble des niveaux de gris. La sonde de calibration améliore encore la précision des couleurs, même si la différence est imperceptible pour l'œil en dessous d'un delta E de 3. Le profil colorimétrique résultant de cette calibration est disponible sur Focus Numérique.

Le contraste de 1080:1 est plutôt classique pour une dalle IPS, mais il ne peut rivaliser avec celui des meilleurs moniteurs VA qui dépasse 3 000:1, notamment dans le cas du Eizo Fortis FG2421.La dalle IPS offre des angles de vision très ouverts avec peu de variation de luminosité, que soit sur l'axe horizontal ou vertical. L'homogénéité de la luminosité sur la dalle est également bonne. L'écart moyen du blanc est mesuré à seulement 8 %. Enfin, nous n'avons constaté aucune fuite de lumière sur notre modèle de test.Pour ceux qui y sont sensibles, sachez que le MX27UQ n'utilise pas la modulation de largeur d'impulsion (PWM — Pulse Width Modulation) pour régler la luminosité. Il est donc dénué de scintillement. Asus propose également une option Blue Light Filter qui permet de limiter l'émission de lumière bleue sur plusieurs niveaux. La dalle IPS-Pro Ultra HD du MX27UQ est plutôt réactive (temps de rémanence moyen de 10 ms). L'overdrive est réglable de 0 à 100 via l'option Trace Free. Réglé sur 60, le moniteur offre un bon temps de réponse avec un léger effet de ghosting maîtrisé. Au-delà, le reverse ghosting est beaucoup trop présent et devient gênant.

Le retard à l'affichage (input lag) est mesuré à 9,7 ms, soit l'une des meilleures valeurs relevées sur un écran LCD. Le décalage entre l'envoi de l'image et son affichage à l'écran est imperceptible.Le moniteur Asus MX27UQ est compatible avec la technologie de fréquence adaptive FreeSync/AdaptiveSync. Asus ne fait d'ailleurs aucune mention de la technologie FreeSync et se contente de parler d'AdaptiveSync, mais les deux sont identiques. Cette technologie ne fonctionne pour l'instant qu'avec les cartes graphiques AMD Radeon, mais les contrôleurs graphiques des processeurs Intel seront compatibles dans un futur proche. À l'instar du G-Sync de Nvidia, le FreeSync d'AMD permet d'éviter les effets de déchirement de l'image lors de la perte de la synchronisation — le fameux tearing. Si l'on passe sous les 40 images par seconde (40 Hz), il est possible de constater des microralentissements (stutter), mais dans l'ensemble l'expérience de jeu est très bonne. Reste à disposer d'une carte graphique suffisamment puissante pour jouer en Ultra HD. On s'en doutait et la première écoute n'a fait que confirmer nos doutes : ce moniteur fait une très mauvaise enceinte Bluetooth. Il n'est même pas au niveau de l'enceinte ultra-portable Philips BT2500 vendue moins de 40 €. Ce n'est donc clairement pas une fonctionnalité qui fera la différence. Le son n'est clairement pas son fort, que ce soit au niveau du rendu audio ou de la puissance.

C'est d'autant plus dommage que le concept était intéressant, surtout pour une utilisation dans le salon, et que la fonction Bluetooth en elle-même est bien conçue. Le jumelage se fait facilement en activant le Bluetooth sur le moniteur et ce dernier peut être utilisé comme enceinte même lorsqu'il est en veille. Avec l'arrivée des tablettes, iPad et autres smartphones grand écran, les Cassandre prévoyaient la mort certaine des liseuses. Et pourtant, ces dernières ont été enterrées un peu vite. Preuve en est avec l'étude parue aux États-Unis qui démontre que la liseuse fait de la résistance. Ainsi, le site eMarketer prévoit que le nombre d'utilisateurs de liseuses va croître de 3,5 %, pour un total de 86,3 millions d'utilisateurs. Selon le site, il reste encore de la marge, puisque l'on prévoit 93,7 millions d'utilisateurs en 2020.Pourquoi cette tendance à la hausse ? Les critères principaux sont la longévité des batteries et des écrans anti-éblouissement qui facilitent la lecture, quel que soit l'endroit où l'on se trouve. S'y ajoute le prix d'achat, les liseuses étant plus abordables que les tablettes et smartphones.

Mais l'étude révèle que les plus gros consommateurs de liseuses sont âgés de 65 ans et plus. Comme l'indique Cathy Boyle, analyste senior chez eMarketer, "il y a un sous-ensemble de consommateurs, en particulier ceux de 65 ans et plus, qui sont à la recherche d'un appareil abordable portable qui offre une expérience de lecture agréable. Sans oublier le prix d'achat et la fonction unique qu'offre une liseuse". Quant au marché de la tablette, ce dernier se porte plutôt bien puisque les prévisions de croissance sont de l'ordre de 4,7 % avec 166,7 millions d'utilisateurs, soit plus de 50 % (51,4 %) de la population des États-Unis. Qui dit tablette pense souvent à l'iPad d'Apple. Sa part d'utilisation continue à baisser (légèrement) puisqu'ils ne seront que 47,8 % d'utilisateurs en 2016, contre 49,2 % en 2015. Pas de quoi affoler la marque à la pomme. Enfin, si la génération X est la plus grosse utilisatrice (67 %) de tablettes avec un pic sur l'année 2019, l'usage de la liseuse reste l'apanage des « baby-boomers » (44 %) qui s'en serviront pour aller surfer sur le Web. Mais leur nombre diminuant, ils seront dépassés, dès l'an prochain, par la génération X qui prendra le relais sur lesdites liseuses. En stand-by depuis quelques mois, le marché des cartes graphiques n'a guère évolué ces derniers temps. Il faut dire que le secteur est en apnée en attendant l'arrivée de nouvelles générations de cartes graphiques, aussi bien chez AMD que chez Nvidia. Depuis notre précédente sélection, les tarifs ont connu une stagnation chez Nvidia (à deux références près) et on note des évolutions disparates chez AMD, avec une belle baisse de la Fury X ou de la R9 Nano, mais également des augmentations du côté de la Fury classique ou de la R9 380. Enfin, il semblerait que le stock des générations précédentes chez AMD soit enfin épuisé, leur tarif montant en flèche.


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