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Battery for HP Pavilion DV8

Posté le 25/9/2017 à 07:34 - poster un commentaire

Le plus petit ordinateur portable d'Apple se paie un léger lifting, qui est avant d'ordre matériel. En effet, le châssis reste strictement le même, avec toujours un seul et unique port USB Type-C. En revanche, on peut compter sur l'arrivée d'un nouveau coloris or rose. Le changement le plus significatif se trouve au niveau du processeur, puisque l'on a droit à la génération Skylake d'Intel Core m. Trois modèles de CPU sont ainsi proposés : Core m 3 6Y30, Core m5 6Y54 et Core m7 6Y75. Apple affirme également avoir intégré un SSD plus rapide, sans en dire plus, tandis que la quantité de RAM de base est désormais de 8 Go. Enfin, la taille de la batterie est légèrement plus élevée, passant de 39,7 Wh à 41,4 Wh, ce qui devrait faire gagner une heure d'autonomie. Au regard de la qualité de la dalle de la Surface Pro 4, nous attendions beaucoup de celle du Surface Book. Autant briser tout de suite le suspense : nous ne sommes absolument pas déçus, loin de là. C'est bien simple, l'écran du Surface Book est sans doute le plus lumineux et contrasté que nous ayons eu entre les mains, dans la catégorie des laptops. Commençons par quelques données factuelles : nous avons affaire à une dalle IPS brillante de 13,5 pouces produite par Panasonic, au format 3:2 et affichant une définition de 3000 x 2000 pixels.

C'est un format intéressant et peu courant sur un PC portable, assez comparable à une version étendue de l'écran de la Surface Pro 4. Cette dernière propose en effet également un format 3:2, mais en 12,3 pouces. La première chose qui nous surprend agréablement, c'est la lisibilité assez exceptionnelle, due à une luminosité et un taux de contraste élevés (respectivement 430 cd/m2 et 1310:1) ainsi qu'un taux de réflexion global de seulement 12 %. À titre de comparaison, la Surface Pro 4, déjà très douée sur ce point, affiche 370 cd/m2 en luminosité maximale et 960:1 côté contraste. Le MacBook Pro Retina 2013, en version 13 pouces, est également largement battu, avec seulement 370 cd/m2 en luminosité et 940:1 en contraste. On pourra donc tout à fait travailler en extérieur et en plein soleil avec l'appareil posé sur les genoux, sans avoir à coller son nez sur la dalle. ARTICLE RECOMMANDÉ : Reflets et écran : quelle tablette propose la meilleure lisibilité ?

Côté colorimétrie, là encore, on se situe dans le haut du panier, voire le très haut. Le Delta E descend ainsi à 1,3, un chiffre excellent, sachant qu'un Delta E est considéré comme bon en dessous de 3. La température des couleurs est calée à 6 940 K, soit un résultat proche de notre norme à 6 500 K, ce qui permet d'assurer un rendu équilibré, bien que tirant très légèrement vers le bleu. Enfin, la courbe gamma est très stable et les niveaux de gris sont impeccablement respectés. Dernier point intéressant à relever : la réactivité de la dalle tactile. Nous avons ainsi mesuré un retard tactile de 54 ms. Une très bonne moyenne, qui place le Surface Book au niveau d'un iPad Air. Nous sommes cependant loin du meilleur score tenu par l'iPad Air 2, mesuré à 9ms. Bref, vous l'aurez compris : l'écran du Surface Book est assuré de gagner ses 5 étoiles durant notre test, ne serait-ce que par son taux de contraste et sa luminosité. Tout d'abord qu'est-ce que réellement le Samsung T1 ? Il s'agit tout simplement du pendant SSD d'un disque dur externe. On prend le circuit imprimé d'un SSD, on le colle dans un boîtier externe et on flanque une interface USB 3.0 à l'ensemble. La base SSD utilisée est en fait celle d'un 850 Evo. La mémoire est ainsi de type 3D V-NAND TLC : les cellules mémoire sont empilées et 3 bits de données sont stockés dans chacune d'entre elles. Par rapport à un disque dur externe classique, les avantages sont doubles. Tout d'abord, le SSD ne comportant aucune pièce mécanique, il est moins sensible en cas de transport agité.

On y gagne également en encombrement, puisque le T1 est annoncé comme plus petit qu'une carte de visite. En effet, avec 7 cm de long, 5 cm de large et 0,9 cm de haut, on est plus proche d'une grosse clé USB que d'un disque dur externe. Côté performances, Samsung donne peu d'informations. Le débit séquentiel en lecture peut atteindre 450 Mo/s tandis que les accès en lecture/écriture aléatoire de petits fichiers se limitent respectivement à 8 000 et 21 000 opérations par seconde. Finalement, le Samsung T1 peut être vu comme une alternative aux clés USB très haut de gamme, comme la Lexar JumpDrive P20 annoncée à 400 Mo/s en lecture et jusqu'à 270 Mo/s en écriture. Les deux solutions semblent d'entrée de jeu avoir leurs avantages et inconvénients. La clé peut être vue comme plus pratique, puisqu'équipée d'un connecteur USB rétractable, lorsqu'il est nécessaire d'utiliser un câble sur la solution Samsung. Le constructeur coréen propose en revanche un espace de stockage plus large : 250 Go, 500 Go ou même 1 To. Les clés USB ont tendance à plafonner à 256 Go voire 128 Go seulement sur la P20. Le HP Omen est un ordinateur portable 15,6 à destination des joueurs. Il s'agit du premier modèle de ce type chez le constructeur HP. Autant dire que lorsque nous l'avons croisé sur le stand Microsoft du CES, nous n'avons pas hésité à poser notre objectif et nos mains dessus pour nous faire une première impression.

Pour rappel, le HP Omen se dote d'une configuration à destination des joueurs réguliers, mais pas extrêmement exigeants, puisqu'elle se compose d'un processeur Intel Core i7 (certainement un 4710HQ), de 8 Go de mémoire vive, d'un SSD de 256 Go ou 512 Go et d'une carte graphique Nvidia GeForce GTX 860M. De quoi jouer à un grand panel de titres récents avec un très bon niveau de détail dans la définition native de la dalle (1920 x 1080 px). Cependant, certains gros titres comme Crysis 3, Assassin's Creed Unity ou encore Metro Last Light ne seront jouables qu'à condition de descendre le niveau de détail.Lors de notre prise en main sur le stand Microsoft du CES, la qualité de fabrication nous a particulièrement séduits. L'ordinateur est entièrement en aluminium anodisé noir, gage de robustesse et de légèreté, car l'ordinateur ne fait que 2,13 kg malgré sa diagonale de 15,6. Petit point négatif, le matériau retient assez bien les traces de doigts.Autres points qui ont retenu notre attention : sa finesse (19,8 mm) et son écran Full HD IPS. Ce dernier sera testé avec la plus grande attention lors de son passage au laboratoire, pour voir si le constructeur a choisi une dalle de qualité. On apprécie également son clavier rétroéclairé de couleur rouge.

Le HP Omen est donc porteur de nombreuses promesses et même si nous n'attendions pas le constructeur sur ce segment du marché, nous sommes désormais particulièrement intéressés par ce produit. Nous devrions recevoir un exemplaire de test sous peu.Pour rappel, le HP Omen est vendu dès maintenant à 1599 € ; un tarif plutôt élevé quand on sait que le V Nitro Black Edition du fabricant Acer est vendu près de 600 € moins cher avec une configuration équivalente. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme... et se recycle. Un multi-adage qu'Apple s'impose avec l'iPhone SE, qui célèbre la réunion d'un design d'hier avec une technique d'aujourd'hui. Bâti sur la certitude que la marque a encore des choses à dire aux utilisateurs qui ne souhaitent vraiment pas sauter le pas de l'écran mobile de grande taille, ce nouvel iPhone vient combler un vide commercial plus qu'apporter une réelle pierre supplémentaire à l'édifice de la téléphonie. Néanmoins, il ne faudrait pas minimiser le poids potentiel du SE, qui se destine au rôle de meilleur smartphone compact du marché, rien que ça. L'iPhone SE est littéralement un iPhone 6s engoncé dans la coque et sous l'écran d'un iPhone 5 ou 5s. La technologie de 2015 dans la robe de 2012, en somme. On trouve donc, sous une dalle tactile LCD IPS de 4 pouces (10,1 cm de diagonale) dotée d'une définition de 1136 x 640 px, une puce mobile Apple A9 de dernière génération et contrairement à l'iPad Pro 9,7 qui reprend une version allégée de la puce A9X de l'iPad Pro 12,9 avec moins de mémoire vive, l'iPhone SE s'équipe comme l'iPhone 6s du double-cœur cadencé à 1,8 GHz et 2 Go de mémoire vive. La capacité de stockage, non-extensible, se décline en 16 et 64 Go (pour respectivement 11,5 et 55,7 Go réellement disponibles). L'appareil photo principal aussi provient du 6s et dispose ainsi d'un capteur de 12 Mpx, alors que le capteur avant reste bloqué à la génération 5s, avec 1,2 Mpx de résolution. GPS + GLONASS, Wi-Fi a/b/g/n/ac et Bluetooth 4.1 sont bien entendu au menu, tout comme le lecteur d'empreinte Touch-ID et le terminal est compatible 4G LTE catégorie 4 (débit maximal théorique jusqu'à 150 Mb/s).

Le smartphone Apple iPhone SE est commercialisé en 4 couleurs différentes (gris, argent, or et or rose) au tarif de 489 € en 16 Go et 589 € en 64 Go. Il s'agit, pour chaque capacité, de l'iPhone le moins cher lancé par la firme de Cupertino, ce qui n'en fait pas forcément un moins-disant ; loin de là même...Voilà, c'est un iPhone 5s, vous pouvez passer à la section suivante de ce test... Bon, prenons tout de même quelques instants pour établir le portrait ergonomique de l'iPhone SE, en particulier pour les néophytes. Plus petit iPhone disponible en direct auprès d'Apple — peut-être reste-t-il quelques iPhone 3GS neufs en Hexagone —, le SE tient fermement dans une seule main et peut très simplement s'utiliser pour tout type de sollicitation sans jamais s'aider de la pogne opposée. À titre d'exemple, l'iPhone SE tient complètement dans l'espace réservé à l'écran de l'iPhone 6s Plus et surtout parait aujourd'hui ridiculement petit comparé à n'importe quelle nouveauté de l'univers mobile.

Cela a l'air de couler de source, mais aujourd'hui et à infiniment plus forte raison sur du milieu et haut de gamme, difficile de trouver une nouveauté qui offre ce type de prestation ergonomique et de compacité. Tout juste peut-on compter les OnePlus X, Samsung Galaxy A3 et Sony Xperia Z5 Compact. Maigre. Cela ne doit pas pour autant occulter que la dégaine d'iPhone 5s engendre une occupation de l'espace avant par l'écran de seulement 62 %, quand un Xperia Z5 Compact passe près de 72 %. Ce dernier avec son écran de 4,6 pouces propose d'ailleurs peu ou prou le même encombrement global. Il reste toutefois extrêmement agréable de pouvoir interagir avec le contenu de son smartphone à une seule main sans faire montre de ruses ergonomiques avec sa paume ou son pouce. Forcément, l'exercice s'adresse à une portion de plus en plus congrue de l'humanité technologique et un habitué des grands écrans ne pourra sans doute pas revenir, par exemple, à un clavier tactile exigu. Côté construction, forcément, nous sommes en terrain d'excellence, sur un bloc d'aluminium d'un seul tenant. Pas de place pour l'à peu près, d'autant qu'Apple ne fait que réutiliser une coque qui a fait ses preuves par deux fois dans le passé. Le lecteur d'empreinte n'est pas de dernière génération en revanche et reprend celui du 5s ou de l'iPhone 6. Il n'atteint pas la vitesse de réaction du Touch-ID de l'iPhone 6s, mais reste l'un des plus rapides et précis du marché.


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