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Batterie pour ASUS N56VM

Posté le 6/10/2017 à 07:28 - poster un commentaire

Sur les 127 touches du clavier, 19 sont réservées aux raccourcis et trouvent place sur la partie haute, intégrées à la coque. Parmi celles-ci figurent 7 commandes multimédias pour régler le volume et gérer la lecture audio-vidéo. Au-dessus du pavé numérique, une touche est dédiée au lancement de l'application calculatrice ; pratique. À sa droite, le témoin de charge faible.Cinq autres sont associées à des applications favorites ou à celles présentes dans la barre des tâches. On peut également attribuer des macros à ces touches. Les touches dédiées aux favoris, numérotées de 1 à 5, sont légèrement concaves en leur centre.Les touches de fonctions F1 à F12 habituelles sont également associées à d'autres fonctions, comme souvent désormais. Pour les utiliser en revanche, pas de touche FN ici, mais une touche de verrouillage située à droite de F12. Hélas, ces touches sont beaucoup plus petites que sur un clavier classique et par conséquent moins faciles à manipuler. C'est particulièrement gênant pour les touches fréquemment utilisées, comme "Echap".

Du côté des touches habituelles du clavier, la touche majuscule ("Shift") gauche fait par ailleurs les frais du positionnement en courbe des touches ; elle est moitié moins large que sur la plupart des claviers, si bien qu'il n'est pas rare d'appuyer à côté.Le Wireless Comfort Keyboard 5050 ne propose pas de rétroéclairage des touches et c'est bien dommage. Cela évite cependant d'utiliser trop d'énergie et préserve l'autonomie qui peut ainsi atteindre plusieurs mois avec les deux piles AA. Un voyant s'allume lorsque le niveau de charge de ces dernières est devenu trop faible et qu'il est temps de les changer (piles alcalines fournies, non rechargeables). Sans doute dans la même logique d'économie d'énergie qui justifie l'absence de rétroéclairage, le clavier ne comporte pas non plus de leds associées aux touches de verrouillage (pavé numérique, majuscules, fonctions). Pas d'inquiétude cependant, une fois le "Centre Souris et Claviers Microsoft" installé, une notification apparaît à l'écran lorsque l'on appuie sur l'une de ces touches. Les indications sont ajoutées à la base des touches pour rappeler quels raccourcis sont possibles en combinaison avec la touche CTRL.

Le clavier utilise des touches de faible hauteur, qui s'enfoncent cependant comme des touches classiques de clavier standard. En effet, celles-ci reposent sur des interrupteurs à dômes en silicone, plus hauts que les interrupteurs à ciseaux employés notamment pour les claviers d'ordinateurs portables.La frappe est agréable et relativement rapide. Il ne faut cependant pas hésiter à frapper assez fort, la rigidité des membranes étant assez élevée. Néanmoins, le silence est au rendez-vous puisque le bruit de frappe reste sourd, y compris au niveau de la barre d'espace. C'est appréciable si l'on tape beaucoup de texte et cela évite de déranger les personnes situées à proximité. Le kit Wireless Comfort 5050 Desktop inclut la souris Wireless Mouse 5000. Ambidextre, elle est parfaitement symétrique et propose deux boutons principaux, une molette cliquable et deux boutons de tranche.

Les tranches sont creusées pour mieux accueillir les doigts et notamment le pouce, mais son design rend la prise en main moins confortable qu'avec une souris spécifiquement destinée aux droitiers ou aux gauchers. Annulaire et auriculaire ont en effet du mal à trouver leur place. La forme bombée de la souris n'est pas non plus idéale pour les boutons principaux que l'on préfère concaves plutôt que convexes, afin de mieux accueillir les doigts. De gauche à droite et de haut en bas : souris seule ; prise en paume (palm grip) ; prise en griffe (claw grip) ; prise du bout des doigts (finger tip).La maniabilité de la souris reste toutefois correcte malgré sa masse relativement élevée (145 g avec ses deux piles AA), grâce au revêtement caoutchouteux habillant les tranches. La glisse n'est en revanche pas son point fort et les deux patins situés sous la souris paraissent d'ailleurs bien minces... Par souci de cohérence, les matériaux utilisés rappellent ceux du clavier, avec notamment un plastique noir brillant sur le dessus de la coque. Hélas, celui-ci s'avère glissant et se couvre rapidement de traces de doigts. Les assemblages sont néanmoins corrects, même si l'on aurait apprécié que la jonction entre les deux parties de la tranche ne se fasse pas juste sous le pouce... La jonction entre les deux parties de la tranche se fait malencontreusement juste à l'endroit où vient se poser le pouce.

En ce qui concerne la précision, le capteur BlueTrack se comporte bien sur une grande variété de surfaces et il s'agit d'ailleurs de sa plus grande force. La Wireless Mouse 5000 est en revanche à réserver à une utilisation bureautique, puisque son capteur décroche vite lors des mouvements brusques. La précision aurait pu être meilleure dans les micro-mouvements (retouche photo au pixel près, par exemple) puisque l'on observe quelques petits sauts de pixels sur certaines surfaces.Pour finir, n'oublions pas de parler des interrupteurs utilisés, puisque nos observations contrastent assez nettement avec celles formulées pour le clavier. En effet, alors que ce dernier propose une frappe relativement douce et silencieuse, les interrupteurs de la souris sont pour leur part plutôt durs et bruyants. C'est encore plus vrai pour celui de la molette. De plus, la molette ne propose qu'un défilement libre, sans crans, ce qui occasionne quelques imprécisions regrettables. Digne membre de la série Roar de Creative, l'iRoar Go se présente sous la même forme et avec les mêmes matériaux que la précédente itération. Aspiration nomade oblige, elle gagne en compacité et en légèreté par rapport à la iRoar, mais reste tout de même assez volumineuse pour une enceinte portable. La préhension est relativement bonne et l'enceinte peut être posée à plat ou debout comme sa cousine la Roar 2. Toutefois, elle reste bien plus stable à plat grâce à ses pieds antidérapants. Avec son châssis en plastique épais couplé à de l'aluminium et à une grille métallique, l'iRoar Go jouit d'une fabrication solide et sérieuse. L'enceinte est aussi splashproof (IPX6) et ne craint donc pas les projections d'eau ou de sable. Il faudra juste veiller à bien placer les deux caches en caoutchouc qui protègent la connectique.

L'iRoar Go est semblable à la Roar 2 sur de nombreux points, notamment en ce qui concerne la connectique. En dehors de toute cette armada de commandes et de possibilités, l'iRoar n'en reste pas moins facile à utiliser. Les contrôles répondent très vite et l'appairage en Bluetooth (4.2, A2DP, AVRCP, HFP) se fait sans encombre, surtout avec la puce NFC. Les possibilités sont très nombreuses pour une enceinte nomade : connectique filaire en tout genre, lecture USB et carte SD, kit mains-libres avec enregistrement, utilisation de l'entrée mini-jack comme sortie micro ou casque... Pour parfaire le tableau, on a aussi le droit à l'application pour smartphone Sound Blaster Connect, complète et réactive. Elle donne accès au choix des sources connectées, un aperçu de la musique en cours de lecture, un explorateur de fichier pour les périphériques connectés (clé USB, carte micro SD) et surtout une partie égalisation.


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