- Jean-René ! S’écria-t-elle. – C’est lui, ce Jean-René, son soi-disant ami d’enfance, qui l’a attiré dans ce piège.
- Vous avez sûrement raison, Catherine. Mais celui que vous prénommez Jean-René ne peut être à lui seul, l'unique responsable de tout ce que nous voyons. L’Encre Ténébreuse s’est servie de lui, de sa sensibilité accrue, de son instabilité mentale, de ses faiblesses et de ses aspirations… Il n’est qu’un serviteur de la Chose. Un simple rouage…
- Pourquoi n’ai-je pas déchiré cette maudite lettre lorsque je pouvais le faire !
- Vous ne pouviez pas le savoir, madame Chaudet. Lui indiqua le jeune Vincent. – Vous ne pouviez pas deviner que les évènements allaient prendre une telle tournure.