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6/1/2019 - ANTANANARIVO D' AUTREFOIS EN IMAGES ET CHANSON

Extrait d'un article paru dans Midi Magasikara et clip de la chanson de Luk, Mahery & Rija - Antananarivo (BARIJAONA) Le répertoire musical malgache recèle quelques titres qui feront pâlir d’envie les voyageurs et les découvreurs de contrées. Voici quelques chansons à écouter en guise de séjour. Qualifié de chansons touristiques, ou de marketing de bas étage, le répertoire musical malgache regorge de quelques chansons qui font l’éloge d’une ville ou d’un trou qui résumerait tout l’univers. Au plus fort de sa gloire, quand le grand Robert Nesta Marley sortait son morceau « Trenchtown rock », les médias jamaïcains s’empressaient de le tancer. Ces derniers l’accusaient de sortir de ce qu’il savait faire de mieux. Puisque le chanteur de reggae jouait, parait-il, le bon autochtone. Tandis que, quand Jay Z et Alicia Keys, chantaient dans un duo fiévreux le titre « New York », toute la planète se mit à rêver. Ces genres de chansons sur lesquelles l’artiste chante son amour pour la Californie, Londres ou d’autres encore, il y en a également dans le patrimoine musical d’antan et actuel malgache. Barijaona : Antananarivo Ce titre de Barijaona dépeint avec toute la légèreté qui l’accompagne, la capitale de Madagascar qui ,dans ses paroles est une ville éternelle. Une cité qui berce ses musiques et ses rires, les étrangers de passage. A l’époque de la création de cette chanson, Antananarivo vivait dans une sorte de nostalgie d’un lointain devenu mythe, mais qui bouillonnait sous le rouleau de l’occidentalisation. « Signalons qu’en 1956, vers la fin de la période coloniale, il existe 47 journaux édités à Antananarivo dont huit quotidiens », comme le relate Albert Ralaikoa et Dahy Rainibe dans le livre « La cité des milles – Antananarivo : histoire, architecture, urbanisme » (Tsipika, 1998). Ce grand écart, entre une ancienne cité royale de l’oralité et l’avenir d’un centre urbain de l’écrit, avait de quoi rendre nostalgique. https://www.dailymotion.com/video/xdwpp6
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