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3/5/2016 - Batterie HP Pavilion dv6500

Concrètement, on se rend compte que les jeux 3D sont l’un des champs d’actions préférés du Galaxy S7 Edge. Il réussit ainsi à afficher jusqu’à 58 images par seconde à notre test réalisé avec l'application Epic Citadel. Malgré son système de refroidissement liquide – déjà aperçu sur les Lumia 950 de Microsoft – on remarque cependant une certaine perte de performances au fur et à mesure de nos essais pour chuter jusqu’à 48 images par seconde, une fois le processeur bien sollicité. Rien de très handicapant cependant, tous les jeux que nous avons testés (Real Racing 3, Asphalt 8, Dead Trigger 2) restent tout à fait fluides et jouables.

Toujours du côté des jeux, mentionnons l’effort que Samsung a fait avec son Game Launcher. Dans ce dossier intelligent viennent se loger tous les jeux installés sur le smartphone. On peut également y activer le Game Tools. Cette petite pastille reste toujours apparente en surimpression lorsqu’on lance un jeu. Si on la touche, apparaissent alors ses fonctions permettant de verrouiller les touches tactiles en façade pendant une partie, de désactiver les notifications ou encore d’enregistrer une vidéo de sa partie en cours. Dommage en revanche que les options de partage ne permettent pas d’envoyer ensuite la séquence directement sur Twitch.

Autre point sur lequel ce Galaxy S7 est très attendu : la photographie. En réduisant le nombre de mégapixels de son capteur de 16 à 12, Samsung a pris le risque de changer en profondeur un composant qui fournissait jusqu’à présent les meilleurs clichés du marché des smartphones. Le nombre moins important de photosites permet, en revanche, de les agrandir pour capter plus de lumière et donc réaliser des photos plus lumineuses, très utile dans les scènes en basses lumières.

De ce côté-là, Samsung a fait le bon choix, puisque le Galaxy S7 Edge capte plus de lumière dans les situations d’obscurité. Reste que le rendu est sensiblement moins bon qu’avec la série S6. C’est surtout le traitement d’image qui est en cause : les clichés sont bien plus lissés que sur la précédente génération d’appareils et fait ainsi perdre quelques détails au passage. Attention cependant, le capteur photo du Galaxy S7 Edge n’est pas du tout mauvais, mais reste légèrement en retrait par rapport au Galaxy S6. Il sera difficile de le percevoir à l’œil nu sur l’écran du smartphone, mais un examen en détail sur un écran d’ordinateur montre cette légère perte de qualité.

La sanction est également la même en vidéo où le rendu est sensiblement plus saccadé que sur l’ancienne génération du smartphone. Trop bien habitué aux gains substantiels de qualité réalisés par Samsung d’une génération d’appareil à l’autre, on en attendait certainement bien mieux du constructeur.

Malgré une légère déception en photo, soyons clairs : le Galaxy S7 Edge est le nouveau smartphone Android de référence du marché. Il excelle en tous points : design mieux étudié, écran lumineux, autonomie de choc, puissance pour les jeux 3D et qualité photographique. Les consommateurs les plus exigeants savent désormais vers quel modèle se tourner cette année. Crédit photos :

Côté photo et vidéo, le Surface Book est équipé d’un APN avec un capteur de 8 millions de pixels à l’arrière avec Autofocus et permet de réaliser des enregistrements vidéo en Full HD 1 080p. En façade, on retrouvera une webcam de 5 mégapixels. deux microphones sont intégrés ainsi que des haut-parleurs stéréo avec Dolby Audio. Son autonomie sera de 12 heures en lecture vidéo. Au niveau de sa connectique, le Surface Book est équipé de deux ports USB 3.0, un lecteur de cartes SD et une sortie vidéo miniDisplayPort ainsi qu’une prise jack seraient présentes sur la tablette. Le châssis de l’ordinateur portable hybride Surface Book est en magnésium, de couleur argent et il est équipé de boutons physiques, du réglage du volume et de l’alimentation. Au niveau de sa connectivité, on retrouvera le Wi-Fi 802.11 ac, IEEE 802.11a/b/g/n, du Bluetooth 4.0. On retrouvera un capteur de lumière ambiante, un accéléromètre, un gyroscope et un magnétomètre.

Nous passons le plus clair de notre temps les yeux rivés sur un écran, alors pourquoi ne pas l'embellir un peu. Le système d'exploitation Windows offre de nombreux trucs et astuces pour vous aider à personnaliser l'environnement de travail de votre ordinateur. Metronews vous explique comment mettre un fond d'écran animé sur Windows.

Notre journaliste s’est lancé le défi de vivre l’année 2016 sans produire de déchet. Et ça marche ! Après trois mois d’expérience, ceux qu’il n’a pas pu éviter tiennent dans ses mains. Et sa vie est - presque - normale. Découvrez la vie sans déchet...
Le « zéro déchet » a connu un boom ces dernières années : l’ouverture de magasins de vente en vrac combinée à l’émergence d’une figure emblématique, Béa Johnson, font que l’on peut désormais parler d’un mouvement. Mais, concrètement, qu’est-ce que ça fait de vivre sans poubelle ? Comment s’organise-t-on au quotidien ?
C’est ce que j’ai essayé de savoir en me lançant dans l’aventure et en la racontant sur un blog. L’objectif de cette expérience est de garder le volume de déchets résiduels le plus proche de zéro au bout d’une année complète. Bonne résolution oblige, j’ai démarré au premier janvier.

Fort heureusement, la gueule de bois du lendemain de la Saint-Sylvestre ne s’est pas transformée en panique puisque j’avais pris le temps de me préparer un minimum : livres, documentaires, guides pratiques, la documentation ne manque pas. S’il y a des principes de base dans le zéro déchet (refuser, réduire, réutiliser, recycler et enfin composter), les façons de décliner ces règles au quotidien sont infinies. Ce n’est pas une science exacte et personne n’est là pour vous pointer du doigt si vous rechutez en produisant un déchet, ou si vous n’arrivez pas à zéro. Bon, maintenant, par où commencer ?
1e étape : Éviter que les déchets potentiels ne parviennent jusqu’à soi

Ils sont partout : le bic que l’on vous donne, la publicité qu’on vous impose, ce cadeau de Noël inutile... Sans y prendre garde, nous avons accumulé un stock exponentiel de brols (belgicisme) qui sont autant de déchets en puissance. Si un objet, même utile, n’est pas utilisé, autant lui donner une seconde vie. Ma garde-robe est donc passée au régime forcé pour lui faire perdre quelques plumes et renflouer les associations qui en ont plus besoin. J’ai aussi revendu ou donné les objets dormant dans mes armoires, comme cet écran d’ordinateur ou de vieux téléphones qui ont trouvé un propriétaire plus aimant (il reste pas mal de choses dans le grenier de mes parents, pardon maman). Cela stimule le marché de l’occasion et évite à d’autres de devoir acheter du neuf.
Enfin, refuser la publicité dans sa boite aux lettres, et apprendre à dire non gentiment à ce qu’on vous propose d’inutile, le sac issu du pétrole étant le plastique qui cache l’océan.
2e étape : Changer ses habitudes d’achat

L’idée est donc d’éviter tout produit jetable ou vendu avec un emballage à usage unique, et ce, même s’il se recycle, le recyclage n’étant pas une solution en soi notamment à cause de son coût énergétique. Vivement, donc, le retour de la consigne et exit le plastique, les boites de conserve, le verre jetable ou encore les sachets en papier.
Une fois mes réserves de nourriture épuisées, me voilà en route vers le supermarché pour réaliser rapidement que si je veux éviter tout déchet, y compris les recyclables, il va falloir très vite changer d’enseigne(s). Nouveau cap et direction les boutiques bios et/ou qui vendent en vrac : légumes, fruits, pâtes, fromage et même yaourts… C’est fou tout ce qu’on trouve en vrac en cherchant au bon endroit. Pour vous aider, il y a plusieurs outils locaux et même internationaux, comme l’application Bulk (« vrac », en anglais).

Il y a aussi tout le volet électronique, évidemment : que faire d’un objet en fin de vie ? Il n’y a pas de solution magique, si ce n’est de choisir des produits durables et réparables. Mon ordinateur portable date de 2008 et a vécu pas mal de changements de pièces : écran, batterie, chargeur et disque dur, mais il est toujours fonctionnel. Et si vous ne savez comment faire, il existe les Repair Cafés. Pour le reste, j’essaye de n’acheter qu’en seconde main. Certaines firmes font particulièrement attention à la provenance et au caractère réparable de leurs produits, comme le Fairphone, qui est clairement un exemple à suivre pour l’ensemble du secteur.
4e étape : Les sorties entre amis, c’est fini ?

J’entends aussi souvent la question : mais comment fais-tu chez les autres ou à l’extérieur ? Tout d’abord, je ne suis pas un donneur de leçon. Chacun vit comme il veut et j’aime trop ma vie sociale pour refuser une invitation. Je ne suis donc pas là pour juger mes amis qui me proposent leur nourriture, même si celle-ci génère des déchets. L’idée est d’inciter au changement par l’exemple, pas par la baguette. Cette attitude me semble la plus productive, et d’ailleurs les questions sur le mode de vie zéro déchet viennent naturellement sur la table sans avoir à les provoquer. Mieux, on revient souvent vers moi en me disant : « Je pense à toi quand je fais mes courses maintenant… Merci ! » Sans le vouloir, je suis devenu ce collègue qui vous colle des chansons qui restent en tête toute la journée !

Il est aussi tout à fait possible de manger à l’extérieur ou à emporter sans produire de déchet. Encore une fois, la clé est d’anticiper et de venir avec vos contenants. Chinois, kebab ou quiches, j’essuie rarement de refus ; par contre, on se fait assez vite repérer et au bout de deux fois, il n’y a même plus besoin de demander !
5e étape : Tenir bon

Deux critiques reviennent régulièrement aux oreilles des zéro « déchetteurs » : « C’est bien beau votre histoire, mais ça prend du temps et ça coûte plus cher. » Ce n’est pas entièrement faux, mais c’est assez loin de la vérité. Oui, au début, c’est chronophage de repérer les différents magasins et il n’existe pas à l’heure actuelle de supermarché « zéro » qui vendrait tous les produits de notre quotidien en vrac. Il faut donc parfois multiplier les sources d’approvisionnement. Par contre, une fois que vous avez atteint votre vitesse de croisière, cela ne prend pas plus de temps, dixit les plus expérimentés en la matière. Et il faut se mettre un peu plus aux fourneaux, ce qui n’est pas pour me déplaire.


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