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30/6/2016 - Batterie HP Compaq 2510p

Le stylet du Surface Book est le même que celui de la Surface Pro 4 (ils sont d'ailleurs interchangeables) et se fixe sur le côté de l'appareil de la même manière. Cet accessoire fonctionne vraiment très bien, en particulier avec les applications Fresh Paint pour dessiner et OneNote de Microsoft pour prendre des notes. Nous avons demandé à Dan Parent, artiste et auteur de bandes dessinées, de tester la Surface Pro 4 et le Surface Book. Il s'est dit impressionné par la sensation offerte par le stylet et en particulier sa gomme.

La définition de l'écran du Surface Book est de 3000 x 2000 pixels pour une diagonale de 13,5 pouces de diagonale tandis que celui de la Surface Pro 4 propose 2736 x 1824 pour 12,3 pouces. En dehors de cela, les deux écrans sont très proches en termes de performances et de confort de vision. La définition plus élevée du Surface Book assure une excellente lisibilité des textes noirs sur fond blanc. Apple parle de qualité "Retina" tandis que Microsoft a baptisé sa technologie PixelSense, mais le concept reste le même.

Le Surface Book étant avant tout un PC portable, il offre assez d'espace pour une connectique correcte : deux ports USB 3.0, un port mini DisplayPort pour la vidéo, un lecteur de carte mémoire et une prise audio. En dehors de cette dernière, toute la connectique se situe sur la partie clavier, ce qui signifie que vous n'en disposez pas lorsque vous détachez l'écran. Sur la Surface Pro 4, il y a un port USB en moins et le lecteur de carte est au format micro SD.

Autre point commun entre les deux produits de la famille Surface : la présence de processeurs Intel Core i5 et i7 de la dernière génération Skylake. Nos exemplaires de test étaient tous deux équipés de la même puce Core i5 épaulée par 8 Go de mémoire vive. Leurs performances se sont révélées identiques sur nos tests standards. L'un comme l'autre se sont montrés plus véloces que la Surface Pro 3. Le Core i5 est plus que suffisant pour les tâches courantes de navigation Web, bureautique ainsi que la lecture multimédia en streaming. Même des applications telles que Photoshop et consorts fonctionnent sans problème.

Comme toutes les machines s'appuyant sur une puce graphique Intel, le Surface Book n'est pas fait pour du jeu intensif. Cependant, Microsoft propose en option une carte graphique Nvidia intégrée dans la partie clavier. L'option est appréciable dans la mesure où peu de PC portable de petit format proposent de vraies fonctions graphiques comme c'est le cas de l'Alienware 13 pouces de Dell et du Razer Blade 14 pouces.

Le première modèle de Surface Book que nous avons reçu n'était pas équipée d'une puce Nvidia. Mais, alors que nous rédigions cet article, Microsoft nous a envoyé un deuxième modèle. La version très haut de gamme, dotée d'un processeur Intel Core i7 et de la fameuse puce Nvidia. Nous avons pu faire tourner quelques benchmarks de jeu basiques et il s'avère que ce GPU est globalement du niveau d'une GeForce 940M. Avec des réglages graphiques poussés au maximum en 1920 x 1080 pixels, les performances sur BioShock Infinite ne sont pas extraordinaires un affichage qui n'atteint que 23,5 images/sec. En revanche, s'il l'on abaisse le niveau de détails à "moyen", la machine permet de monter à une vitesse de 37,2 images/sec. Un taux de rafraîchissement nettement plus confortable. Nous avons essayé plusieurs jeux dont le dernier Soma et Grand Theft Auto IV. Les deux tournaient sans problème tant que les réglages graphiques se situent entre les niveaux moyen et bas.

L'évaluation de l'autonomie doit se faire en deux étapes sur ce système puisqu'il bénéficie de deux sources d'énergie pour un double usage. La majeure partie se cache le clavier et un quart seulement dans l'écran pour le mode tablette. Le Surface Book est clairement pensé pour une utilisation de longue durée en version PC portable avec la possibilité d'un usage en mode tablette, plus anecdotique. Une configuration qui vous conviendra ou non selon vos besoins.

En mode PC portable, le Surface Book a tenu 11h24 mn à notre test de lecture vidéo en boucle. En mode tablette, l'autonomie monte à peine à 2h51 mn. Deux points sont intéressant à souligner. Le système consomme d'abord la batterie principale du clavier afin de laisser celle de l'écran intacte le plus longtemps possible pour pouvoir utiliser la tablette au bout de plusieurs heures d'activité. La charge se fait en commençant par l'écran puis le clavier.

Nous avons connecté l'écran/tablette en partie déchargée sur le clavier pour voir si ce dernier était capable de le recharger. Hélas... non. Lorsque nous avons voulu la détacher pour vérifier, un message nous indiquait qu'il fallait attendre un peu que la batterie de la tablette soit rechargée. Heureusement, il est possible de brancher directement le câble d'alimentation sur la partie tablette.

Le Surface Book nous semble plus adapté à Windows 10 que la Surface Pro. Le nouvel OS replace au centre l'usage portable et ordinateur de bureau. Le Surface Book penche plus du côté du PC portable. L'usage en mode tablette étant plus optionnelle que sur la Surface Pro. Le Surface Book n'est pas encore le portable ultime, mais il offre des fonctionnalités (écran tactile, stylet, puce graphique en option) dont ne dispose pas le MacBook Pro 13 pouces. Il y a bien quelques incongruités auxquelles il faut un peu de temps pour s'habituer, mais elles sont mineures. Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de la première génération de ce produit.

Les trous fascinent autant qu'ils effrayent, tellement ils sont entourés de mystères. Comme le papillon de nuit est attiré par la lumière, le génie Stephen Hawking est hypnotisé par ce phénomène et tend toujours à faire des théories à ce propos.

Stephen Hawking veut construire un vaisseau interstellaire mais n’en oublie pas ses précieux trous noirs. Ce sont des zones de l’espace-temps qui se forment à la suite de l’effondrement gravitationnel d’une étoile massive, entraînant la création d’un puits sans fond qui engloutit toute chose d’approchant de trop près. La lumière elle-même ne peut leur échapper, c’est dire.La théorie la plus couramment admise par la relativité générale est une destruction pure et simple de tout objet ayant été aspiré. Le souci étant que cette hypothèse viole les lois de la mécanique quantique, aucune matière ne devrait disparaître complètement.Stephen Hawking, dans une récente conférence tenue à l’Université de Harvard, a affirmé que les trous noirs pourraient être des portails vers un univers parallèle. Ce n’est pas la première fois qu’il émet cette hypothèse, particulièrement excitante.

Les astronomes spéculent depuis des années et tendent à croire que les trous noirs ne conservent pas d’ informations sur les étoiles à partir desquelles ils se sont formés. Cependant, ils stockeraient leur charge électrique, la masse… Selon ce postulat, ils emmagasineraient finalement beaucoup d’informations qui ne sont pas visibles d’un point de vue extérieur. Chacun serait unique et rempli de toute une collection de particules, au point de potentiellement aboutir à un univers parallèle.

Crédible ? Après tout, l’on a longtemps cru que la Terre était plate… On doute que quiconque veuille tenter l’expérience, sauf s’il tenait à ce que ses atomes soient compressés et accélérés à la vitesse de la lumière, entraînant fatalement la mort, qu’importe l’univers dans lequel il pourrait atterrir.Les deux tablettes de grande taille d'Apple et Microsoft sont maintenant disponibles. L'occasion rêvée de les placer sur un ring et de constater si elles boxent ou non dans la même catégorie.

A notre gauche, la Surface Pro 4 de Microsoft. Dans le coin opposé, l'iPad Pro d'Apple. Ces deux tablettes ont désormais passé la batterie de tests du labo 01net.com et nous avons souhaité comparer ces deux tablettes qui ont la même ambition : remplacer votre PC portable traditionnel. Ont-elles tout ce qu'il faut pour y parvenir ? Quelle est la meilleure parmi ces deux tablettes géantes ? C'est parti pour notre duel !

L’iPad Pro est beaucoup plus grand que la Surface Pro 4 : 30,6 x 22,06 cm pour la première contre 29,2 x 20,14 cm pour la seconde.Toutefois, la tablette Apple est plus fine et plus légère, deux critères tout à fait déterminants dans le choix d'un appareil nomade. En effet, ce dernier ne doit pas surtout devenir un fardeau au quotidien. Et même si l'écart n'est pas énorme, nous avons mesuré 6,9 mm et 723 grammes pour l'ardoise Apple, contre 8,4 mm et 798 grammes pour le modèle de Microsoft.

Windows 10 pour la Surface Pro 4 et iOS 9 pour l’iPad Pro. L’avantage va clairement à la Surface Pro 4, car celle-ci profite de tous les programmes disponibles pour Windows. Un avantage majeur qui permet de faire (presque) tout ce que l'on désire avec. En face, iOS n'a pas la même flexibilité : le multitâche est moins performant, il n'y a pas d'explorateur de fichiers, ni même de bureau ou glisser ses fichiers.

Cependant, les pointilleux ne manqueront pas de rappeler que si l'on se concentre uniquement sur les magasins d'applications dédiés des deux systèmes, l'App Store propose un choix titanesque comparativement au Windows Store, qui -de fait- paraît bien pauvre. Reste que de nombreuses applications de l'App Store ne sont pas encore optimisées pour son grand écran.

Les diagonales d'écrans sont proches : 12,3 pouces pour la Surface, 12,9 pouces pour l’iPad. Ce dernier prend toutefois légèrement l'ascendant par sa définition d'écran : 2732 x 2048 pixels (soit 265 points par pouce) chez Apple contre 2736 x 1824 pixels (soit 267 points par pouces) chez Microsoft.

Les angles de vision et la technologie d’affichage sont très proches tant en termes de confort d'utilisation que de rendu d’images. Techniquement enfin, les dalles affichent quasiment la même luminosité (404 cd/m2 pour la Surface Pro 4 et 409 cd/m2 pour l’iPad Pro) mais le contraste est bien meilleur sur l’ardoise grande taille d’Apple : 1573:1 contre 1262:1. Cette différence se distingue d'ailleurs à l'oeil nu, ce qui fait la différence et permet à l'iPad Pro d'arracher la victoire sur ce point.

Sur nos trois tests d’endurances (surf, lecture vidéo et polyvalente) l’iPad Pro atomise tout simplement la Surface Pro 4. Entre 8 et 11 heures mesurées pour le grand iPad alors que la quatrième génération de tablette de Microsoft arrive péniblement à dépasser les 7 h 35 minutes au mieux. Des scores qui s’expliquent notamment par la différence de puissance sous le capot.

Ne tournons pas autour du pot : l’iPad Pro embarque une configuration… d’iPad et non d'ordinateur : une puce A9X, 4 Go de mémoire vive et 32 ou 128 Go de SSD. La SP4 est quant à elle équipée de composants PC purs et durs : Intel Core m3, Core i5 ou i7, 4 ou 8 Go de mémoire et de 128 à 512 Go de stockage.Le seul test synthétique pouvant être mené sur les deux plateformes en vue de comparer les résultats est Geekbench. Ce dernier indique que la puissance de calcul mono cœur est légèrement à l’avantage de l’iPad Pro. Mais sur le calcul multicœurs, il ne peut pas lutter avec la puissance du Core i5 d’Intel de la Surface Pro 4.

Enfin, côté connectique, la Surface Pro 4 propose une sortie vidéo mini DisplayPort, un emplacement pour carte microSD et une prise USB 3.0 plein format. Sur l'iPad, il faut se contenter du Lightning et acheter des adaptateurs. Pour la connectique réseau, hormis le Wi-Fi n/ac et le Bluetooth (4.0 pour SP4 ou 4.1 pour iPP), la tablette Apple se démarque avec, sur le modèle haut de gamme, un emplacement pour SIM 4G, complètement absent de l'ardoise Microsoft quelle que soit la version.

Car ici, le but est bien d'exploiter la plateforme technique de l'appareil à travers l'écran, le clavier et les ports de ce Mobile Extender. Il est ainsi très léger, fin et permet là encore de s'éviter les dépenses liées à l'achat d'une machine complète en complément du smartphone.La connexion peut être assurée de manière filaire ou via Miracast, HP misant sur le réseau mobile pour l'utilisation de Workspace en mobilité. Reste tout de même la problématique de l'usage dans des situations un peu complexes comme les trains, où il faudra sans doute se contenter des applications accessibles directement via Continuum.

Néanmoins, il nous a été précisé que la consommation de données serait assez minime. Reste à voir dans la pratique, mais de tels usages ne pourraient être réellement accessibles qu'avec des réseaux mobiles plus matures et mieux déployés. De quoi pousser nos opérateurs à avancer sur la 5G (prévue pour 2020, HP aura donc le temps d'affiner son produit). Bref, l'idée est bonne, l'ensemble est convaincant, et HP montre qu'il arrive encore à proposer des solutions innovantes pour son marché phare : celui de l'entreprise. Mais même si nous avons évacué la question de la communication douteuse des premiers instants, il faudra continuer à creuser pour juger de la pertinence de ce qui est proposé à travers cet Elite x3.


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