BlogHotel.orgAccueil | Créer un blog | Imprimer la page Imprimer | Blog hasard Au hasard | Chercher des blogs Rechercher | Entrer dans le chat du blog Chat | | Jeux Jeux | Adminitration et édition du Blog Manager

A Propos

We provide high quality laptop batteries and adapter with low price, Brand new replacement batteries for laptop, lowest price and full 1 year warranty!

Articles
Acer um09g41 Battery
Akku Lenovo Ideapad y460g

Menu
Accueil
Mon Profil
Galerie
Archives
RSS Feed
Me Contacter

Amis

Liens


Article 1895 sur 2361
Précédent | Suivant
25/7/2016 - Batterie Asus v550

Cette solution, qui s'explique par son bon rapport prix/consommation, rend le duo plus efficace qu'une seule carte GTX 980M pourtant déjà très intéressante. Les performances en jeu seront sans aucun doute de tout premier ordre en Full HD ; nous restons par contre plus circonspects sur les résultats dans la définition native de l'écran WQHD+ (2880 x 2160 px). Une telle configuration pose également la question de la gestion des températures à l'intérieur du châssis et du bruit engendré par le système de refroidissement — points que nous ne manquerons pas de vérifier lors de nos tests. Enfin, l'Aorus X5 reçoit le label G-Sync mobile.

Sa connectique est complète avec 4 ports USB 3.0, un port HDMI, 1 Mini-Display Port, 1 port Surround, 1 port D-Sub, un port Ethernet, un lecteur de carte SD et une prise jack combo casque/micro. On note également la présence de logiciel pour la captation et la diffusion vidéoludique pour la plateforme Twitch.
Avec le Lumia 640 XL, Microsoft nous propose une phablette de milieu de gamme assez complète, dotée d’un écran de 5,7 pouces sous Windows Phone, déclinée en deux versions : LTE et LTE double SIM.
Proposé à un prix très agressif, le remplaçant du Nokia 1320 affiche des caractéristiques très intéressantes, ce qui devrait lui permettre de trouver son public, et de se positionner par rapport à la concurrence.
Partons à la découverte de la bête …

Ceci nous amène à cette observation : si les gestuelles des doigts et de la main sont bien interprétées, les mouvements du bras manquent de précision et de finesse. Le Myo, pour l'heure, n'est pas efficace du tout pour pointer (curseur ou vue à la troisième personne dans les jeux). Pour scroller dans son navigateur Web, un des deux plugins existants préfère d'ailleurs faire fermer le poing et tourner le poignet. On regrette également que les gestuelles soient aussi peu nombreuses. Thalmic Labs va devoir faire évoluer son Myo rapidement. Et quand bien même il deviendrait efficace pour pointer, ce n'est pas dit qu'il soit agréable pour autant. Garder le bras en l'air face à un écran n'est pas ergonomique. Cette critique avait déjà été formulée à l'encontre du Leap Motion.

Quid des autres usages plus « funs », ceux qui sortent de la sphère de l'écran d'ordinateur ? Ils ne sont malheureusement pas encore disponibles. On pense au pilotage radiocommandé de véhicules ou d'équipements connectés de la maison. Ce qu'on sait simplement, c'est que le Myo contrôlera ces appareils par le biais de leur application smartphone ou tablette respective. Ce seront probablement eux qui permettront le vrai décollage du Myo, s'il devait un jour se produire.

Imaginer et concevoir une nouvelle interface homme-machine n'est pas une mince affaire. Qui ose s'atteler à la tâche estime déjà que l'existant ne donne pas entière satisfaction. Ou du moins qu'il est possible de faire mieux. Thalmic Labs le sent. En pleine mutation de l'informatique, à cheval entre le traditionnel (ordinateur fixe ou portable), l'actuel (smartphone et tablette) et le renouveau (objets connectés et wearable), c'est peut-être bien le moment de repenser nos interactions avec les technologies. Le Myo va dans ce sens et propose une manière inédite de piloter ordinateur et smartphone. Plus mobile que l'analyse visuelle (Kinect ou Leap Motion), moins envahissante que la reconnaissance vocale, l'électromyographie est assurément une méthode originale.

Maintenant, comme pour chaque invention disruptive, il y a un cap à passer. Il faut s'approprier l'objet et s'habituer à la nouvelle gymnastique qu'il implique, mentale comme physique ici. Le Myo en est à ses débuts, et il aurait été étonnant qu'il ne souffre d'aucun défaut. Le brassard serre fort et devient vite inconfortable. A plus forte raison si on garde le bras tendu trop longtemps, une position heureusement moins fréquente avec le Myo qu'avec le Leap Motion. En outre, la gestuelle reconnue est trop peu variée, tout comme le nombre et le type d'applications proposées sur le Myo Market, rappelons-le, encore en bêta. Il manque des développements pour l'instant, toutefois comme l'écosystème du Myo privilégie les plugins aux applications propriétaires, le store devrait vite évoluer. Par ailleurs, Thalmic Labs a encore des progrès à accomplir sur la précision de ses algorithmes, la détection étant parfois timorée, parfois trop sensible, ce malgré un calibrage en bonne et due forme.

Dans certains domaines - et contextes -, l'usage du Myo s'avère plutôt convaincant, tout du moins prometteur (présentation et multimédia, plutôt en intérieur). Mais en jeu vidéo ou comme pointeur, le Myo nous déçoit. Il reste la radiocommande de drones ou consorts et l'expérience maison connectée que nous n'avons pas pu tester, faute de développement (c'est imminent nous dit-on). Possiblement les domaines où le Myo exprimera le mieux son potentiel. Pour l'instant, nous ne sommes pas vraiment enclins à conseiller la dépense de 229 $ port compris (environ 200 €), mais qui sait ce que l'avenir sauce Myo nous réserve !
Avec le niveau d’excitation qui a entouré le lancement de l’iPad Pro, il serait raisonnable d’attendre que les ventes soient élevées. Mais, contre toute attente, ce n’est pas le cas. L’adoption de cet iPad Pro est la plus lente de toutes les versions d’iPad lancées jusqu’ici par le géant de Cupertino.

Bien que cela ne fasse que quelques jours que la tablette géante de la firme de Cupertino est disponible dans les boutiques, Apple ne s’attendait certainement pas à ce que cette nouvelle version de sa tablette capture seulement 0.3% du marché des iPad. Pas même le marché des tablettes, juste les iPad. Les experts suggèrent qu’une partie de la raison de cette confusion est la cible de l’iPad Pro.

Comparons le lancement de l’iPad Pro, avec les première et deuxième générations des modèles Air. L’iPad Air a réussi à multiples par six la part de marché obtenue par la version Pro, et ce dans le même laps de temps. L’iPad Air 2 s’avère légèrement moins populaire, mais a tout de même réussi à enregistrer une part de marché trois fois supérieure à celle de l’iPad Pro.

En fait, depuis le lancement de l’iPad Pro, les deux modèles Air ont vu leurs ventes grimper – en partie grâce à des baisses de prix qui suivent tout nouveau lancement. Localytics, un outil qui mesure l’activité d’applications mobiles, montre que l’iPad 2 et l’iPad Air dominent toujours, et le petit nouveau sur le camembert a un certain retard à rattraper :

Localytics suggère qu’une partie de la raison de l’adoption plus lente est la concurrence avec les PC, et un besoin pour les applications d’évoluer : « Le CEO d’Apple, Tim Cook, a positionné l’iPad Pro en remplacement du PC, de sorte que la concurrence n’est pas réelle avec d’autres iPad, mais davantage avec les ordinateurs portables et les ordinateurs de bureau ».

L’idée d’un iPad prenant la place d’un ordinateur portable peut prendre du temps avant de convaincre les consommateurs, due au fait que l’iPad Pro fonctionne sur iOS par opposition au système traditionnel d’ordinateur portable, OS X. Bien qu’iOS offre de nombreuses fonctionnalités, il ne dispose pas de la totalité des applications d’OS X, qui seront indispensables pour un grand nombre de professionnels.

Nul doute que la meilleure chance d’Apple de combler cette lacune est de tirer parti de l’App Store, et mettre en évidence les applications axées sur la productivité et l’amélioration de l’expérience au travail. C’est très certainement sur quoi Apple travaille, et va présenter pour l’année 2016.

ENQUÊTE En s’engageant à 100% dans l’électrique et en misant sur la performance, la start-up de Palo Alto a donné naissance à un constructeur automobile d’un nouveau genre. Il s'expose au Mondial de l'automobile de Paris et pourrait y dévoiler une ou plusieurs nouveautés.
L’insolent succès boursier de Tesla se poursuivra-t-il avec la publication de ses résultats trimestriels, le 5 novembre Le constructeur

automobile californien semble bien parti pour faire encore frémir les spéculateurs qui parient contre lui. Ceux-ci n’ont guère été à la fête en 2013 : l’entreprise d’Elon Musk – qui dirige aussi SpaceX – a vu son action grimper de 400% depuis mars, portant sa capitalisation à 22 milliards de dollars (près de 16 milliards d’euros). Quatre fois celle de PSA avec moins de 20 000 voitures vendues !

Bulle Mirage Peut-être. Mais derrière l’anomalie boursière pointe un phénomène industriel. Partant d’un postulat 100% électrique, la start-up de Palo Alto a été conduite à réinventer l’auto. Le Français Jérôme Guillen, vice-président chargé des ventes et des services, résume le cheminement de Tesla : "Penser purement électrique et essayer de faire la meilleure voiture qui soit amène à s’affranchir de tout l’héritage du véhicule thermique."

Première rupture : concevoir et fabriquer soi-même la batterie, élément clé de la voiture. Un choix logique, mais pas évident pour tous. Renault, par exemple, a beau s’être engagé avec force dans le virage électrique, il n’a guère investi dans la batterie et ne maîtrise pas cette technologie essentielle. "Tesla s’est radicalement démarqué des autres constructeurs en décidant d’être intégré dans la batterie", apprécie Rémi Cornubert, associé au cabinet Oliver Wyman. Comme Bolloré avec sa Bluecar, le californien a parié sur une technologie de batterie. Et il remporte la mise : sa Model S affiche une autonomie certifiée (NEDC) allant jusqu’à 502 km !


Laisser un Commentaire! :: Envoyer à un ami!


Blog suivant >> Signaler un abus?Haut de page