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1/9/2016 - Batterie d'ordinateur portable DELL Vostro V130

Le clavier, quant à lui, reprend ce que l'on trouve sur le x360, et c'est une très bonne nouvelle. Nous sommes donc face à un clavier chiclet rétroéclairé, offrant une frappe très agréable, grâce à des touches bien espacées, une course assez longue et un très bon retour. Le touchpad est par ailleurs d'une grande sobriété, HP n'ayant pas réutilisé le liseré typique du Spectre x360. Il est cependant de qualité, glisse bien et affiche des dimensions généreuses. Avec de telles contraintes de design, il n'est pas étonnant de découvrir une connectique limitée mais correcte : 3 ports USB Type-C à l'arrière, qui peuvent aussi servir à recharger la machine, et, contrairement à la marque à la pomme, un adaptateur USB-C vers USB 3.0 est fourni avec la machine. On trouve également une prise jack.

Autre bonne nouvelle, le HP Spectre 13 chauffe peu. Après 1h de stress-test sous Unigine Heaven, on mesure un point chaud de 43,7°C à l'avant, juste au-dessus du clavier, et 47,8°C sous le clavier. Des températures tout à fait acceptables, qui s'accompagnent d'un léger souffle qui ne dépasse pas 37 dB et qui n'est donc absolument pas gênant.Le HP Spectre 13 est équipé d'une dalle brillante IPS de 13,3 pouces en Full HD (1920 x 1080 px). On aurait sans doute préféré une dalle mate, mais on se dira que la présence d'un revêtement renforcé au Gorilla Glass vient compenser ce petit désagrément.Quoi qu'il en soit, le bilan de cet écran est excellent, notamment grâce à un taux de contraste élevé (1300:1) et une luminosité maximale de 380 cd/m². On profite ainsi d'une très bonne lisibilité, et ce, malgré la dalle brillante.

La perfection n'est pas atteinte du côté colorimétrie, mais nous n'en sommes pas loin. Le delta E (écart entre les couleurs affichées et les couleurs idéales, considéré comme excellent en dessous de 3) plafonne ainsi à 3,8, tandis que la température monte à 6750 K, soit très près de la norme (6500 K). Le rendu est donc fidèle et très équilibré, ni trop chaud ni trop froid. Enfin, la courbe gamma est très stable, avec cependant un léger décrochage vers la fin, signe de blancs qui manquent un peu d'éclat, cependant difficilement visibles à l'œil nu.

En bon ultraportable qu'il est, le HP Spectre 13 profite d'un processeur basse consommation Intel Core i7-6500U. C'est un CPU gravé en 14 nm et doté de deux cœurs, pour des fréquences allant de 2,2 GHz à 3,2 GHz. Un processeur que l'on retrouve dans de nombreuses machines de ce genre, comme le Acer Aspire S13 ou le Dell XPS 13. Sans grande surprise, notre indice de puissance basé sur une série de benchmarks est assez élevé et s'approche de celui d'un Core i5-6300HQ.En pratique, une grande variété d'usages est possible, et dans de très bonnes conditions (bureautique avancée, retouche photo légère, montage vidéo, surf web, vidéo...). Le HP Spectre 13 est une excellente machine du quotidien.

La partie graphique du HP Spectre 13 est gérée par un iGPU Intel Graphics 520. En conséquence, difficile d'espérer des performances enlevées en 3D. Notre indice de puissance sous 3D Mark est ainsi assez loin derrière celui d'une GTX 960M et encore plus d'une GTX 970M.En pratique, impossible de lancer The Witcher 3 en mode Ultra. Il faudra se contenter de quelques titres peu gourmands (quelques MOBA, des jeux en pixel-art) ou assez anciens.Avec 1,1 kg sur la balance, il va sans dire que le HP Spectre 13 est un portable hautement transportable, d'autant plus qu'il est accompagné d'une pochette imitation cuir très sobre qui permet de le protéger lors d'un déplacement. Un ultraportable pur jus.
L'autonomie est pour sa part très satisfaisante, sans toutefois atteindre des sommets. Notre test de lecture sous Netflix (Chrome, luminosité à 200 cd/m², casque branché) a ainsi tourné pendant 6h15. Un bon chiffre bon, qui place le HP Spectre 13 entre l'Asus Zenbook UX305C (5h15) et le HP Spectre x360 (7h). On reste cependant loin des records du MacBook Air 13 pouces (12h35). Dans le cadre d'un usage plus polyvalent, mélangeant bureautique et web, on peut ainsi tabler sur 8h d'autonomie. Une recharge complète demande environ 2h.

La prise casque fait largement le job. On relève ainsi un bon taux de distorsion de 0,01 %, mais surtout une puissance de sortie de 260 mVrms. Autant dire que le volume peut monter haut. Les haut-parleurs sont quant à eux dans la petite moyenne de ce type d'appareil. À l'oreille, la puissance de sortie est assez bonne et la stéréo bien distincte. On constate cependant une sérieuse absence de basses et d'aigus, comme le montre le graphique ci-dessus. Ici, ce sont les médiums, et surtout les hauts-médiums, qui sont représentés. En conséquence, les voix ressortent bien, mais le reste est beaucoup moins mis en valeur (la partie avant 50 Hz est un artefact de la mesure). Bose lance une nouvelle génération de SoundTouch, les Serie II. On avait reproché à l'ancienne SoundTouch 30 une configuration Wi-Fi trop complexe et une utilisation contraignante de l'application. Le géant américain nous promet cette fois une configuration simplifiée et c'est avec la SoundTouch Portable, benjamine et version nomade des enceintes multiroom de la Serie II, que Les Numériques va vérifier si la promesse est tenue. Alors, le changement, c'est maintenant ?

L'application a effectivement été simplifiée, afin de permettre à l'utilisateur de configurer plus simplement son enceinte. Il suffit désormais de la connecter au réseau Wi-Fi en passant par sa source ; pas de port Ethernet sur cette enceinte, ce qui est logique au vu de son utilisation. Bien entendu, on dispose toujours de l'entrée auxiliaire en mini-jack qui, pour le coup, ne requiert aucune configuration.Les six chaînes dont dispose la SoundTouch sont assignables à des services musicaux (Deezer et Spotify), à des radios ou à l'audiothèque de l'ordinateur de manière indépendante. On peut par exemple programmer une radio sur la chaîne 1, une playlist sur la chaîne 2, un compositeur sur la chaîne 3, un album sur la chaîne 4, un genre musical sur la chaîne 5 et un artiste sur la chaîne 6. La SoundTouch est pilotable grâce aux commandes présentes sur sa face supérieure (Power, sélection de la source auxiliaire ou de l'une des six chaînes assignables depuis l'ordinateur, et volume) et avec la télécommande qui comporte exactement les mêmes touches, à l'exception des commandes Pause, Piste suivante et Piste précédente qui viennent la compléter ainsi que l'apparition d'un pouce levé ou baissé permettant de noter la musique. On avait reproché à la SoundTouch 30 de ne pas permettre une navigation à partir des commandes physiques de l'enceinte ; même reproche fait à la SoundTouch Portable, qui dépend encore de la télécommande pour passer au morceau suivant/précédent.

De la même façon, on regrette toujours l'absence de Bluetooth. Il est donc impossible, à moins de passer par l'entrée auxiliaire, de lire des vidéos Youtube, de regarder des films ou de faire quoi que ce soit d'autre que d'écouter les sources sus-citées (services musicaux, radio ou bibliothèque musicale). Et pas non plus de PlayDirect, contrairement à la Libratone Zipp, afin de compenser ce manque.Ce système audio multiroom permet toutefois de relier en sans-fil l'ensemble de la gamme Soundtouch, afin d'écouter un même morceau dans toutes les pièces, ou, au contraire, de créer d'autres espaces musicaux. Ben, sûr tout cela est aussi possible en passant directement par l'application. Malheureusement, il n'est pas possible, contrairement à Sonos, de créer son système Home-cinema. Pour l'affichage, rien de nouveau sous le soleil : les informations (le niveau du volume, le niveau de charge de la batterie, la source et le nom de la chanson) sont très lisibles, en blanc nacré sur fond noir.

La Bose SoundTouch Portable Serie II est plus transportable que nomade. D'ailleurs, son autonomie se limite à 2h30. Notez qu'il est possible de changer la batterie par une autre qui sera bientôt disponible dans les accessoires de Bose.La SoundTouch Portable intègre pas moins de cinq haut-parleurs en frontal et un radiateur passif situé à l'arrière, auxquels s'ajoute une petite chambre de compression pour une meilleure reproduction des graves. Bose réitère l'exploit de la SoundLink Mini, notre référence en termes d'audio nomade, en nous offrant une fois de plus un rendu sonore fort bien maîtrisé. La réponse en fréquence mesurée par nos soins affiche une linéarité assez exemplaire pour ce type d'enceinte. La SoundTouch Portable descend bien dans le bas du spectre, même si l'on peut reprocher aux basses un son un peu "carton" à haut volume. Les voix sont fidèles et restituées avec une grande intelligibilité. Le haut du spectre est bien contenu (aucune sibilance) sans pour autant être en retrait.

Le taux de distorsion se maintient assez bas, à l'exception des basses qui saturent légèrement et d'un pic aux alentours de 800 Hz qui se fait quelque peu remarquer à haut niveau.
La largeur de la scène est vraiment surprenante pour une si petite enceinte. Il est même possible de sonoriser un salon sans aucun problème grâce à sa faible directivité.
Nous n'avons pas testé ce modèle, mais la lecture de la fiche technique nous éclaire sur ses capacités. Nous retrouvons donc un processeur i7-5500U accompagné de 4 Go de mémoire et d'un disque dur de 2 To. Cette configuration devrait ainsi être capable de faire tourner un large éventail de programmes et ne connaître que quelques essoufflements durant de très grosses tâches. La partie graphique est confiée à une puce dédiée Nvidia, la GeForce 820M. Ce modèle d'entrée de gamme ne pourra supporter que des jeux anciens dans la définition native de sa dalle (1600 x 900 px) ou des titres très peu exigeants, comme ceux proposés dans le Windows Store. Il se montrera plus à son avantage dans le décodage de flux vidéo.

Pour la connectique, on peut compter sur 2 ports USB 3.0, 2 ports USB 2.0, 1 lecteur de carte SD, 1 port jack combo casque-micro, 1 port HDMI, 1 port VGA et 1 port Ethernet. La connectivité sans fil est assurée par le Wi-Fi ac et le Bluetooth 4.0.
Après des années de prosélytisme en faveur du laser, le jet d'encre est en pleine phase de reconquête du marché professionnel. Un combat que mènent de front HP et Epson. Ce dernier ouvre par ailleurs une nouvelle brèche en proposant, non pas une imprimante multifonction, mais une machine portable, visant commerciaux, artisans ou autres professions libérales. La WorkForce WF-100W est ainsi la plus petite et la plus légère imprimante A4 du marché fonctionnant sur batterie.


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