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10/1/2017 - Batterie Dell Latitude D610

UNE "SUCCESS STORY" À LA FRANÇAISE
Fondée par le franco-polonais Octave Klaba et gérée par l'ensemble de sa famille, cette société basée à Roubaix (Nord) devrait dépasser la barre des 200 millions d’euros de chiffre d’affaire cette année.
En septembre 2012, OVH a intégré la société Oxalya, spécialiste du Calcul Haute Performance, afin de fournir à ses 700 000 clients, dont 80% d’entreprises, une offre dédiée à la simulation numérique dans le Cloud.
L'objectif de l'entreprise : devenir n°1 mondial d’ici 2016-2017. Pour y arriver, OVH compte, entre autres, s’implanter aux Etats-Unis. "Nous avons plusieurs clients américains, hébergés au Canada ou en Europe. Afin de nous rapprocher d’eux, nous avons décidé de construire trois data center aux Etats-Unis entre 2013 et 2015", déclare Henryk Klaba, "dans le domaine du high-tech, c’est naturel d’être présent sur le marché américain". La société française devra faire face à des concurrents de taille tels Amazon et Rackspace.
OVH a franchi le cap des 600 salariés dans le monde et espère compter 1 000 salariés dans ses locaux d'ici 2015. Côté machines, il dispose actuellement de 140 000 serveurs. L’objectif est d’atteindre 200 000 serveurs à la fin de l’année et 1 million dans trois ans.

DÉVELOPPEMENT ET ÉNERGIE
Le département R&D regroupe une centaine d’ingénieurs informatique. "Notre seul frein, ce sont les capacités humaines. Nous cherchons constamment de jeunes ingénieurs ambitieux pour rejoindre notre équipe", confesse Henryk Klaba.
Leur mission : augmenter la rapidité du système de stockage, sa puissance et sa capacité, développer des nouveaux produits, travailler sur la sécurité du réseau et tester des nouveaux matériels. "Nous travaillons en étroite collaboration avec des entreprises comme Intel et Cisco, il faut sans cesse tester et adapter les produits qu'ils nous envoient ", explique le président d’OVH. "La création et le développement font la force notre société", ajoute-t-il.
Parallèlement, cet hébergeur de sites web nourrit d’autres projets. "Notre département dédié à l’énergie travaille sur l’éolien. Nous tentons de développer un modèle plus petit et plus puissant que l'existant. Si notre projet aboutit, nous pourriont créer entre 200 et 300 emplois aux alentours de Lille, pour une production de 20 à 100 éoliennes par an".

Le hic : "Alors que des clients sont intéressés par ce genre de produit, les banques leur refusent toute demande de crédit car OVH ne figure pas dans la liste de fabricants dont les clients peuvent bénéficier des subventions de l'Etat", soupire Henryk Klaba.
Du data mining au service des objets connectés. John Matherly, le fondateur du moteur de recherche des objets connectés Shodan, a publié en août une carte mondiale des appareils connectés à internet : des ordinateurs aux smartphones, des centrales électriques aux réfrigérateurs, des téléviseurs aux thermostats domestiques... En représentant les zones les plus densément équipées en appareils pouvant se connecter à internet, la carte permet de se faire une idée précise sur les marchés porteurs pour l’internet des objets.
Le cerveau n’a plus de secret pour Interaxon. Avec sa technologie Muse, cette start-up canadienne, basée à Toronto, propose d’en observer l’activité en temps réel sur l’écran d’un Smartphone ou d’une tablette. L’utilisateur peut ainsi apprendre à la contrôler pour améliorer son bien-être, ses performances intellectuelles ou son expérience des jeux vidéo.

Pour la mesure de l’activité du cerveau, la technologie Muse s’appuie sur un casque souple et léger comprenant quatre capteurs d’EEG (électro-encéphalogramme) : deux sur le front et deux près des oreilles. Le décryptage des informations réside dans un algorithme d’analyse et d’interprétation des signaux. C’est là que réside le savoir-faire d’Interaxon, fruit de plus de dix ans de recherche et développement à l’université de Toronto."La technologie EEG est connue depuis 60 ans, rappelle Trevor Coleman, directeur général et cofondateur d’Interaxon. Nous profitons des progrès techniques pour réaliser un casque de capture léger, ergonomique et performant. Mais l’essentiel de notre apport réside dans l’algorithme de traitement. Il faut extraire de l’immense quantité des signaux recueillis par le casque les données pertinentes, les analyser et leur donner du sens."

Pour garder un casque léger et ne pas pénaliser l’autonomie de sa batterie, seule une petite partie du traitement est réalisée au niveau du casque : la conversion des signaux en numérique, le filtrage et la compression. L’analyse et l’interprétation des données sont effectuées par un logiciel séparé proposé sous la forme d’une appli mobile pour les plateformes iOS et Android. Ce logiciel tourne donc sur un smartphone ou une tablette qui reçoit les données du casque sans fil via la liaison Bluetooth. Ce qui était réservé jusqu’ici aux professionnels de la santé entre désormais dans la poche de tout le monde. Ce dispositif, encore au stade de prototype, a fait sensation au dernier Consumer Electronics Show, à Las Vegas, en janvier 2013. Les applications premières se situent dans le domaine du bien-être. L’activité cérébrale reflète des situations de stress, de réflexion intense, de manque de concentration, d’anxiété, etc. L’appli propose des exercices visant à améliorer la mémoire, la concentration, la motivation et le contrôle de soi, à réduire l’anxiété, le stress et les pensées négatives, à être plus efficaces dans des tâches intellectuelles, ou encore à se maîtriser dans des moments de vulnérabilité. Trevor Coleman est convaincu qu’avec la connaissance en temps réel de l’activité cérébrale et l’entrainement, il est possible pour l’utilisateur de contrôler son mental qui constitue un facteur important du bien-être mais aussi des performances dans le travail, le sport, le théâtre ou les jeux vidéo.

La jeune société canadienne discute avec des constructeurs de consoles et d’éditeurs de jeux vidéo afin que les joueurs puissent y intégrer des données biométriques leur permettant d’être plus performants dans le jeu. Pour décliner son système dans des applications verticales comme le sport, le théâtre ou d’autres domaines professionnels, elle propose un kit de développement adapté aux environnements iOS, Android, OSX, Windows et Linux. Dans les compétitions sportives, une application dédiée servira ainsi à l’entrainement mental des athlètes. "On sait que le mental joue un rôle important dans le résultat des sportifs, estime Michael Apollo, directeur de développement chez Interaxion et professeur de science appliquée au cerveau à l’université de Toronto. Cet outil peut les aider à donner tout le potentiel de leurs capacités physiques".

EXPLOSION DU MARCHÉ DU BIEN-ÊTRE MENTAL
Interaxon n’arrive pas sur un terrain vierge. "Mais les solutions disponibles aujourd’hui sont soit trop bridées sur le plan technique et pas assez fiables, soit trop sophistiquées et trop lourdes pour être utilisées par le grand public", tranche Trevor Coleman. Aux Etats-Unis, la société Neurosky propose un dispositif basé sur un seul capteur d’EEG, insuffisant, selon Interaxon, pour donner un résultat fiable. A l’inverse, la société australienne Emotiv propose un casque à 16 capteurs d’EEG, dont la complexité, la taille et le coût le restreignent à la recherche et au monde médical.

Le casque sera fabriqué en Chine. Le système devrait être commercialisé au troisième ou quatrième trimestre 2013 pour 200 dollars canadiens. Il sera disponible dans des boutiques aux Etats-Unis et au Canada, et dans le monde entier en ligne. Fondée en 2009 par des chercheurs de l’université de Toronto, Interaxon compte aujourd’hui 25 personnes. Ses fondateurs se frottent les mains puisqu’ils s’attendent à ce que le marché mondial du bien-être mental grimpe de 1 milliard de dollars en 2012 à 6 milliards en 2020.
Ce produit a été conçu principalement pour lutter contre le syndrome du canal carpien, une compression du nerf médian dont peuvent souffrir les personnes travaillant sur des ordinateurs.
La souris volante soulagerait la main grâce au système de lévitation, en diminuant les frottements et les tensions du poignet.

Google se penche sur la pertinence des réponses donnée par les machines aux utilisateurs. Le géant américain a annoncé l’acquisition de la start-up canadienne DNNresearch, mercredi 13 mars. Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé.
Fondée il y a un an par le professeur de l’université de Toronto, Geoffrey Hinton et deux de ses anciens élèves, Ilya Sutskever et Alex Krizhevsky, DNNresearch s’intéresse à la meilleure manière de faire comprendre aux machines ce que les humains veulent leur communiquer. Cette équipe a mis au point des neurones artificiels qui optimisent les calculs nécessaires aux systèmes de reconnaissance vocale, d’identification d’objets et de compréhension du langage.
Ces technologies, explique le site Clubic, sont utilisées par Google au sein d'Android, du navigateur Chrome, mais également pour des projets tels les lunettes Google Glass ou les Google Car.http://www.batterie-tech.com/batterie-ordinateur-portable-sony.html


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