BlogHotel.orgAccueil | Créer un blog | Imprimer la page Imprimer | Blog hasard Au hasard | Chercher des blogs Rechercher | Entrer dans le chat du blog Chat | | Jeux Jeux | Adminitration et édition du Blog Manager

A Propos

We provide high quality laptop batteries and adapter with low price, Brand new replacement batteries for laptop, lowest price and full 1 year warranty!

Articles
Acer um09g41 Battery
Akku Lenovo Ideapad y460g

Menu
Accueil
Mon Profil
Galerie
Archives
RSS Feed
Me Contacter

Amis

Liens


Article 1024 sur 2361
Précédent | Suivant
12/1/2017 - Batterie Lenovo L10N6Y01

La France est le moteur de cette division B2B, selon Bruno Humbert, directeur général de Sharp Business Systems France et region manager pour l’Europe du Sud. Nous avons enregistré 16% de croissance en 2014, et nous aurons 10% de croissance en 2015 sur le segment des imprimantes multifonctions, avance-t-il. La croissance pour la zone Europe dans son ensemble est de 2,5%. Le chiffre d’affaires réalisé par Sharp France sur ce seul secteur serait de 130 millions d’euros en 2015, d’après ses estimations. Pour se démarquer de la concurrence, Sharp Europe a également mis en œuvre une stratégie de fusion de ses activités d’affichage (Visual Solutions) et de gestion de documents (Document Solutions). Le but ? Créer une solution de bureau intégrée. Nous essayons de maximiser les technologies et les produits que nous avons à notre disposition. A la fois en les optimisant mais aussi en les faisant converger. C’est de cette manière que les petits acteurs peuvent avoir du succès sur un marché, nous a confié lors d'un entretien Jun Ashida, président de Sharp Information Systems Europe. Une étude de Sharp révèle que 35% des entreprises achètent une solution logicielle séparément des produits qu'ils vendent. Le Japonais veut puiser dans ce marché avec ses solutions intégrées.

Cette stratégie s'appuie sur Cloud Portal Office, une plate-forme cloud lancée en 2014 dont la version 2.0 a été annoncée lors de l’évènement. Celle-ci, développée en interne, permet un stockage (dans un centre à Francfort) et une gestion délocalisée des documents, à laquelle on peut accéder depuis un site distant, sur un ordinateur comme un appareil mobile, etc. Elle s’interconnecte aussi avec d’autres solutions cloud comme Dropbox ou Office 365 afin d’y récupérer ou d’y envoyer des documents. Cloud Portal Office suit un modèle SaaS, avec un coût de 10 euros par personne par mois. Son utilisation la plus convaincante lors des démonstrations s’est faite en conjonction avec le Big Pad, un tableau blanc interactif de 80 pouces également annoncé à l’évènement.

ETRE UN PARTENAIRE ET PAS UN FOURNISSEUR
Si Sharp Europe réalise 50% de ses ventes en direct, ses dirigeants ont largement insisté sur l’importance de ses rapports avec les revendeurs, dont 850 sont présents à l’évènement. Son ambition est d’établir et de conserver des partenariats, y compris auprès de ses clients, qui sont majoritairement des petites et moyennes entreprises. Notre but n’est pas de gagner des parts de marché ou d'être numéro un, c’est d’avoir une relation de qualité avec nos clients, expose Jun Ashida. Cela passe dans certains pays comme l’Allemagne par du conseil et des services étendus, comme la conception d’espaces de travail (positionnement des bureaux, de l’éclairage...). Nous ne nous limitons plus à la vente de produits, confirme t-il.

Si Sharp reste à l'affût d'opportunités auprès de grandes entreprises ou de gouvernements, Jun Ashida fait preuve de réalisme quant au manque d'infrastructure et de marge de manoeuvre financière de Sharp pour s'y imposer face aux leaders du marché. Ce n'est pas notre priorité, nous nous concentrons en premier lieu sur nos clients établis. Des clients pour lesquels Sharp Europe se targue d'avoir un taux de rétention proche de 100%. Les racines japonaises du groupe transparaissent dans cette philosophie. Je favorise un progrès par petits pas, continu et constant, plutôt que de grands bonds en avant. Je ne recherche pas de gros titres dans la presse, poursuit Jun Ashida.
Des principes louables, mais suffiront-ils à Sharp pour retrouver un jour sa grandeur passée ? Du moins lui permettent-ils de subsister jusqu'à la prochaine grande révolution. Elle se fera peut-être dans la robotique ou le médical, mais pas dans les imprimantes, souffle Jun Ashida.

Asus, le sixième fabricant de PC au monde, est en cours de discussion avec Microsoft pour créer sa propre version du casque Hololens. Jonney Shih, président du taiwanais Asus, et Terry Myerson, vice-président exécutif en charge de Windows et des appareils chez Microsoft, ont confirmé cette information à Cnet lors d'un évènement de présentation de produits Asus à San Francisco.
Si le projet venait à aboutir, Asus deviendrait la première entreprise tierce à fabriquer un appareil utilisant la technologie de réalité augmentée de Microsoft. Celle-ci s'appuie côté logiciel sur un framework baptisé Windows Holographic, et est intégralement compatible avec les applications universelles de Windows 10. De son côté, Microsoft a récemment annoncé que des versions de développement d'Hololens seront disponibles début 2016 pour 3000 dollars.

Microsoft voit d'un bon œil l'entrée d'Asus sur le marché, car ses efforts hardware – qu'il s'agisse des Surface, des smartphones Lumia ou d'Hololens – ont principalement pour but de créer une émulation du marché qui profite à son écosystème Windows. Rien n'est encore décidé cependant, Asus est encore en phase de réflexion pour le moment.
Le patron d'Asus a par ailleurs exprimé son désintérêt pour la première version de Google Glass, la jugeant trop limitée dans ses capacités. Pour lui, ce type d'appareil doit tirer parti du cloud et fournir une véritable interface de réalité augmentée pour que le marché puisse décoller.Ici vous avez votre chaîne Deezer, là vos messages, la météo en haut, et sur le côté des évènements à proximité, ils vous sont proposés selon vos préférences, explique Steve Le Cocq, chef de projet innovation chez Continental. Il s'agit là de toutes les fonctionnalités de l'écran du prototype de voiture Holistic Connectivity de Continental, présenté au 22e salon des systèmes de transports intelligents à Bordeaux (Gironde) du 5 au 9 octobre.

Connectivité est l'autre mot phare, après autonome, du secteur des transports intelligents. Les équipementiers et les constructeurs sont nombreux à proposer des interfaces sous formes de tablettes ou d'écrans, permettant au conducteur du futur de rester connecter en permanence. Pour le meilleur et pour le pire, à l'instar de Nissan et de sa voiture spéciale Share natives (les jeunes nés dans la culture du partage). Toujours à bord de l'Holistic Connectivity, une bannière apparait sur l'écran. C'est Paul qui demande à être covoituré. Ici, c'est une simulation, prévient Steve Le Cocq. Mais la voiture est capable de localiser les personnes à la recherche de co-voiturage qui se trouvent sur ma route. Là, j'accepte de venir le chercher en appuyant sur Ok, et la voiture recalcule mon itinéraire. Pour Continental, l'idée est d'établir des partenariats avec des sociétés comme Blablacar pour les intégrer à son système.Achat Samsung batterie ordinateur portable - fr-batterie-portable.com

L'équipementier a également développé un système de reconnaissance, que l'on retrouve chez d'autres entreprises du secteur comme le japonais Aisin. Chez Continental, la reconnaissance se fait par les yeux. Une fois que la voiture a reconnu le conducteur, elle l'autorise ou non à démarrer. C'est un système qui permettrait de sécuriser la location de voitures entre particulier, explique Steve Le Cocq.
L'institut Vedecom s'est lui aussi intéressé à l'économie du partage. Il a conçu le système Opticities. Cette application intégrée au système de la voiture fournit aux conducteurs un trajet multimodal (vélo, voiture, transport en commun) optimal. Il intègre les nouvelles formes de mobilité comme le covoiturage.

LA VOITURE AUTONOME ET CONNECTÉE : UNE BASE POUR L'ÉCONOMIE DU PARTAGE
Nous voulons faire des voitures autonomes et connectées une base pour l'économie du partage, avance Seval Oz, directrice générale d'ITS Continental, la section destinée aux systèmes de transports intelligents de l'équipementier. Nous souhaitons que le conducteur puisse tout gérer depuis sa voiture. Par exemple si j'ai besoin de louer mon appartement sur Airbnb, je peux le faire de ma voiture. On peut même imaginer, si mon appartement est connectée, que je puisse ouvrir ma maison depuis ma voiture et ouvrir la porte à distance, détaille-t-elle. Si nous ne pouvons pas être connectée en permanence, l'économie du partage ne peut pas se développer.


Laisser un Commentaire! :: Envoyer à un ami!


Blog suivant >> Signaler un abus?Haut de page