BlogHotel.orgAccueil | Créer un blog | Imprimer la page Imprimer | Blog hasard Au hasard | Chercher des blogs Rechercher | Entrer dans le chat du blog Chat | | Jeux Jeux | Adminitration et édition du Blog Manager

A Propos

We provide high quality laptop batteries and adapter with low price, Brand new replacement batteries for laptop, lowest price and full 1 year warranty!

Articles
Acer um09g41 Battery
Akku Lenovo Ideapad y460g

Menu
Accueil
Mon Profil
Galerie
Archives
RSS Feed
Me Contacter

Amis

Liens


Article 812 sur 2361
Précédent | Suivant
24/2/2017 - Batterie Lenovo L10N6Y01

Quelques semaines avant cette présentation sur la conférence Defcon 21, le vendredi 2 août, les deux chercheurs ont livré aux constructeurs Ford et Toyota un document expliquant comment ils avaient piraté les systèmes de ces véhicules. Selon ce qu'ils ont relaté, Toyota a déclaré que, de son point de vue, cela n'était pas un piratage et que les efforts de l'entreprise en matière de sécurité étaient centrés sur la prévention des attaques à distance, soit à l'extérieur de la voiture, et non celles impliquant l'accès physique au système de contrôle. Le but était de savoir ce qui pouvait se passer en cas de piratage du réseau ECU, comme l'ont indiqué les chercheurs. Selon eux, « il n'y a pas de différence entre un accès local ou à distance, car l'accès à l'ECU ouvre la porte à l'ensemble du réseau et permet d'injecter des commandes ». Charlie Miller est certain que d'autres chercheurs trouveront les moyens d'attaquer ces systèmes à distance, rapportent nos confrères d'IDG News Service présents sur Defcon 21. « L'industrie du logiciel ne sait pas écrire de logiciels imparables. Il n'y a donc aucune raison de croire que les constructeurs automobiles en sont davantage capables », a souligné Charles Miller.

« Le code des systèmes auquel on peut accéder à distance - celui des unités télématiques, des capteurs de pneus, ceux qui utilisent le Bluetooth et le Wi-Fi - est potentiellement truffé de failles », a-t-il ajouté. « Je suis sûr que si l'on commence à chercher, on va trouver un grand nombre de vulnérabilités ». C'est en partie la raison pour laquelle Charlie Miller et Chris Valasek ont décidé de communiquer les détails de leur recherche, y compris sur le type d'équipement, les câbles et les logiciels qu'ils ont utilisés. Le document de recherche complet et les outils logiciels créés par les deux chercheurs pour interagir avec l'ECU, ainsi que le code utilisé pour injecter des commandes spécifiques, devaient être livrés pendant le week-end.«Nous voulons inciter d'autres chercheurs à travailler sur la question, avec d'autres voitures ou sur les mêmes voitures », a encore déclaré Charlie Miller. « Il nous a fallu dix mois pour faire aboutir ce projet, mais si nous avions eu les outils dont nous disposons aujourd'hui, il nous en aurait fait deux. Nous voulons faciliter le travail à tous ceux qui voudront s'impliquer dans ce type de recherche ». Celui-ci admet que ces outils peuvent permettre à des gens mal intentionnés de pirater ces systèmes. « Mais, de toutes les façons, si c'est si facile à faire, cela peut arriver. Ça prendrait juste un peu plus de temps », a-t-il avancé. « Si notre seule protection, c'est de dire que personne ne prend la peine de se lancer dans ce type de recherche, alors on ne peut pas affirmer que ces systèmes sont sécurisés », a déclaré Charlie Miller. « Je pense que le mieux est de mettre tout ça à plat, d'identifier les problèmes et d'en parler ».

« Cependant, il ne sera pas facile de corriger ces failles parce que la plupart sont liées à des problèmes de conception », a déclaré Charlie Miller. « Il ne suffira pas aux constructeurs automobiles de livrer un correctif pour les résoudre », explique encore le chercheur. « Ils doivent complètement repenser leurs systèmes. Par exemple, à l'heure actuelle, la communications des ordinateurs de voiture les uns avec les autres ne requiert aucune authentification, parce qu'ils ont besoin de réagir et envoyer des signaux rapidement dans des situations potentiellement dangereuses », explique le chercheur. L'introduction de procédures d'authentification va ajouter de la latence. Cela signifie que les systèmes doivent être équipés de processeurs plus rapides, qui coûtent plus chers, avec une incidence sur les prix des voitures », a-t-il dit.

« Nous ne savions pas qu'une telle recherche était en cours, et nous l'avons appris par les médias », a déclaré samedi par courriel Cindy Knight, directrice de la communication chez Toyota Motor Sales. « Toyota prend très au sérieux toute forme de manipulation sur ses systèmes de contrôle électroniques », a-t-elle déclaré. « Nous veillons à les rendre robustes et sécurisés, et nous continuerons à les tester et à les améliorer », a-t-elle ajouté. « Il est important de noter que la démonstration de cette intrusion, très médiatisée, repose sur une présence physique à l'intérieur du véhicule, un démontage du tableau de bord et une connexion câblée », a fait valoir Cindy Knight. « Tout cela serait très vite repéré par le conducteur ». De son côté, Ford Motor Co. aux États-Unis n'avait pas encore répondu à la demande de commentaires de notre confrère d'IDG News Service au moment de la publication de l'article. Les consommateurs qui cherchent à se procurer un notebook bon marché ont désormais le choix entre quatre fabricants de Chromebook. Dernier en date, le HP Pavilion Chromebook repose sur une puce Intel Celeron à 1,1 GHz, un écran 14 pouces, 2 Go de RAM et 16 Go de stockage flash. Il pèse tout de même 2 kg... L'intérêt pour les Chromebook va croissant depuis que Google s'est associé à Samsung pour lancer le tout premier notebook tournant sous ce système d'exploitation en 2011. Samsung a désormais deux modèles de Chromebooks dans sa besace, et le moins cher coûte à peine 200$. Acer en fabrique aussi un de 11 pouces dans les mêmes prix, et Lenovo vient d'annoncer qu'il allait en dévoiler un ciblant les professeurs et les étudiants.

L'un des grands avantages de ce système d'exploitation est qu'il fonctionne avec le cloud. Le navigateur est essentiellement une extension de Google et les utilisateurs n'ont qu'à ouvrir leur session sur Internet pour accéder aux applications bureautique en ligne, les Apps.Avec les Chromebook, les fabricants de PC tentent une nouvelle fois de se passer de Microsoft et de ses couteuses licences logicielles. De plus, en se séparant de Microsoft, ils peuvent proposer des ordinateurs avec des processeurs moins puissants (donc moins chers), moins de RAM et des espaces de stockage de masse plus réduits. Les consommateurs semblent commencer à mordre à l'hameçon. Les ventes de Chromebook représentent déjà entre 5 et 10% des ventes de PC Acer aux Etat-Unis. Près du quart des actifs français disposent d'un smartphone fourni par leur entreprise selon le cabinet Markess International. Les tablettes équiperaient seulement 2% des actifs mais le chiffre doublerait chaque année, ce qui n'est pas extraordinaire dans les premiers temps de l'apparition d'un nouvel équipement. Ces chiffres, déjà impressionnants, ne tiennent pas compte du phénomène byod, c'est à dire de l'usage professionnel d'un terminal personnel.

L'usage de ces terminaux en mode byod concerne plus particulièrement certaines populations, comme les commerciaux. Un tiers utilise déjà une tablette ou smartphone personnels pour accéder aux applications de leur entreprise. Près d'un poste fixe ou portable classique devrait être remplacé par une tablette d'ici 2015. Le multi-équipement en terminaux permettant d'accéder au système d'information (PC, smartphone, tablette...) concerne déjà 8 salariés sur 10.Le développement d'applications destinées à ces terminaux mobiles, en mode byod ou cope (Corporate Own Personnal Enabled) d'ailleurs, s'accroît. La moitié des projets est lancée pour accroître la productivité et l'efficacité des salariés. Mais d'autres objectifs sont également poursuivis : amélioration de l'image de l'entreprise, amélioration de la collaboration, accès ubiquitaire... L'accès ubiquitaire aux applications et aux données devrait transformer les systèmes d'informations d'ici 2015 selon Markess International. Le cloud jouerait un rôle facilitateur dans ce domaine. En janvier dernier, il s'est vendu pour la première fois plus de tablettes que de PC portables en France. Appelé à secourir un marché des notebooks à la peine, Windows 8 peine à remplir son office en raison d'une faible adoption des écrans tactiles par les fabricants de PC.

Janvier 2013 est à marquer d'une pierre blanche pour le marché français de la micro-informatique. Selon Context, qui comptabilise les ventes des grossistes aux revendeurs IT, il s'est vendu le mois dernier plus de tablettes que de PC portables dans l'Hexagone. Une première. Forte d'une croissance de 447% durant cette période, les ventes de tablettes ont représenté 57% du total des ventes sur le marché de l'informatique mobile. En janvier 2012, leur part de marché n'atteignait que 18%. Elle est ensuite passée à 31% 6 mois plus tard et avait fini par atteindre les 48% en décembre dernier.Force est de constater, si le fallait encore, que le lancement de Windows 8 n'a pas permis au marché des portables de trouver un nouveau souffle face aux tablettes. La faute incombe, en partie, aux fabricants de PC qui exploitent trop peu les fonctions de gestion d'écrans tactiles offertes par la plate-forme. En janvier dernier, en effet, seuls 2,4% des PC portables vendus avec Windows 8 (En Allemagne, en Espagne, en Italie et au Royaume-Uni) étaient équipés de ce type de périphériques d'affichage.

En octobre 2012, cette proportion était de 1,1%. Autant dire que l'ère du PC à écran tactile n'est pas encore venue. Pour la plupart des fabricants d'ordinateurs interrogés par Context, le décollage des ventes de PC à écran tactile devrait intervenir dans le courant du troisième trimestre 2013, pour la rentrée de classes. Encore faut-il que les tablettes à bas prix ne prolifèrent pas, ce qui aurait pour effet de tenir les consommateurs à distance des PC à écrans tactiles dont les prix sont élevés. La société Comm'Back vient de publier son dernier baromètre des projets IT dans les entreprises françaises. Sans surprise, cloud et mobilité sont à la mode.Mobilité, cloud sous toutes ses formes, mais aussi travaux d'infrastructure : les projets IT ne sont pas tous arrêtés à cause de la crise économique. Le baromètre annuel de la société Comm'Back fait le point sur les tendances des projets dans les entreprises françaises en comparant les évolutions sur les années 2011, 2012 et 2013. Environ deux tiers des entreprises se lancent ainsi dans le cloud alors que les chiffres étaient négligeables les années passées : 76% se lancent dans un cloud au sens large, 69% dans une externalisation infogérée, 74% dans un hébergement extérieur, 67% s'intéressent au SaaS...

Le back office n'est pas délaissé, bien au contraire. Les outils d'administration de réseaux font l'objet de projets dans 61% des entreprises en 2013 contre 14% en 2011 et 25% en 2012. La gestion de parc connaît par contre aussi sa forte croissance : 59% en 2013 contre 18% en 2012 et 22% en 2011. A l'inverse, les systèmes de gestion (GRC, décisionnel...) sont plutôt en berne : moins d'un quart des entreprises, en moyenne, déclarent vouloir lancer de tels projets. Pour Comm'Back, c'est le signe que les directions métier recourent de plus en plus à des projets de type cloud (SaaS notamment) sans rien demander à la DSI.La crise se sent sur des outils banalisés comme la bureautique. 20% des entreprises ont des projets en matière de déploiement de PC/portables/tablettes cette année alors que les années précédentes voyaient des scores doubles. Cependant, 63% des entreprises ont des projets d'achats massifs de smartphones. Et 70% veulent changer de système de messagerie.

Côté réseaux, l'augmentation de bande passante concerne cette année 61% des entreprises, deux fois plus que les années précédentes. Et 67% veulent mettre en oeuvre des contrôles de flux. L'IPcentrex et la ToIP/VoIP a également le vent en poupe avec plus de la moitié des entreprises intéressées tandis que les PABX n'intéressent plus que 15% des entreprises. Hier, soit un jour avant l'ouverture du Computex (4-8 juin) à Taipei, des fabricants de PC ont annoncé des machines intégrant les processeurs Core de quatrième génération d'Intel, nom de code Haswell, qui chauffent moins, sont plus petites et plus rapides.Les constructeurs de PC Asus, CyberPower et MicroCenter ont annoncé des machines tout-en-un, des portables et des ordinateurs de bureau intégrant la puce Haswell d'Intel. Des annonces des principaux fabricants de PC comme Dell, Acer et autres devraient suivre dans les prochains jours. La plupart de ces machines seront visibles au salon Computex à Taipei, qui ouvre ses portes demain. Les annonces des fabricants ont été faites le jour où Intel a annoncé ses premières puces quad-core Core i7 et i5 de quatrième génération basées sur Haswell. Le fondeur devrait également profiter du salon de Taipei pour annoncer d'autres processeurs Haswell.


Laisser un Commentaire! :: Envoyer à un ami!


Blog suivant >> Signaler un abus?Haut de page