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25/4/2017 - Batterie ASUS UL50AT

Le constructeur Acer vient de présenter en France son nouveau Chromebook, le C710, lequel est accessible au prix de 249 euros TTC.Rappelons qu’un Chromebook est un PC conçu pour fonctionner sous Google Chrome OS, un système d’exploitation centré sur les applications web (accessibles en ou hors ligne) et les services cloud, de Google pour l’essentiel. Cette offre s’architecture autour d’un noyau Linux et du navigateur web Chrome.L’Acer C7 est une machine animée par un processeur Intel Celeron 847 bicœur cadencé à 1,1 GHz, épaulé par 2 Go de mémoire vive et un disque dur de 320 Go. L’affichage s’effectue sur un écran de 11,6 pouces (agrémenté d’une webcam HD), pour une résolution de 1366 x 768 points.À noter, une connectique soignée : 3 ports USB 2.0, des sorties HDMI et VGA, une prise combo entrée/sortie audio, un connecteur Ethernet Gigabit et un lecteur de cartes mémoire SD/MMC. Le tout affiche des dimensions (28,5 x 20,2 x 2,7 cm) et un poids (1,38 kg) mesurés, quoique perfectibles. Sur le papier, voilà donc un excellent netbook Chrome OS.

Passons maintenant aux points négatifs : le C710 propose un maximum de 4 heures d’autonomie, ce qui est peu pour une machine à vocation nomade. De plus, si un module Wifi 802.11n est de la partie, l’absence d’une carte 3G (même optionnelle) se fait remarquer.Enfin, que dire du prix de cet ultraportable, facturé en France 249 euros TTC, alors qu’il est disponible outre-Atlantique pour 199 dollars HT (soit environ 180 euros TTC).Notez qu’une seconde version de l’Acer C7 proposera 4 Go de RAM, 500 Go de disque dur et une meilleure batterie (mais toujours pas de module 3G). Elle sera livrée au prix de 299 euros TTC.Malgré les errements tarifaires de Google, l’Acer C7 reste le moins coûteux des notebooks Chrome OS en France. Et pour cause, puisque c’est le seul disponible dans notre contrée. Il remplace en effet tous les modèles d’ancienne génération précédemment vendus.

Le Chromebook ARM de Samsung, plus léger et plus autonome, ainsi que le Chromebook Samsung 550, plus haut de gamme, manquent encore et toujours à l’appel au catalogue français de Google. Dommage…ZTE entend frapper un grand coup sur le secteur des Android haut de gamme avec le Nubia Z5, un smartphone quadri cœur super fin au prix agressif.ZTE vient d’officialiser l’annonce du Nubia Z5. Evoqué à l’occasion d’une conférence de presse donnée en Chine en octobre dernier, le Z5 introduit une nouvelle série, plutôt haut de gamme, du constructeur chinois.Même si le Nubia n’est pas sans rappeler les Lumia de Nokia de part son nom et le marché visé, c’est bien sous Android, Jelly Bean 4.1.1, qu’opère ce nouveau smartphone à l’écran OGS (One Glass Solution) des plus généreux avec ses 5 pouces en full HD (1920×1080 pixels) pour 443 points par pouce (ppp).Le reste du nouveau smartphone de ZTE est à l’avenant : processeur quadri cœur Snapdragon S4 Pro 1,5 GHz de Qualcomm (APQ8064), 2 Go de mémoire vive et 32 Go de mémoire de stockage; appareil photo de 13 mégapixels et capteur frontal de 2 mpx. Du haut de gamme, assurément.

Qui plus est dans un encombrement des plus discrets. L’épaisseur du Z5 ne dépasserait pas les 7,6 millimètres (si l’on oublie l’embonpoint de l’objectif de l’appareil photo) pour 138 mm de haut et 68,8 mm de large dans une coque uniforme en aluminium. Le tout pour 126 grammes avec sa batterie de 2300 mAh. Il embarque évidemment Wifi, Bluetooth, GPS et NFC mais ne semble pas taillé pour la 4G. Seul le HSPA+ semble de mise.Le Nubia Z5 débarquera sur le marché dès janvier, en Chine dans un premier temps, au prix de 3456 yuans, soit autour de 420 euros. Un tarif agressif en regard de la configuration proposée qui pourrait accélérer la conquête du marché par ZTE pourtant déjà classé quatrième au niveau mondial. Il devra néanmoins compter avec l’appêtit de son homologue Huawei qui vise pour sa part la troisième place du podium. Dans tous les cas, l’actuel numéro 1 Samsung est en ligne de mire.En parallèle, ZTE profitera du Consumer Electronics Show (CES) 2013 de Las Vegas pour présenter, le 8 janvier prochain, le Grand S. Un smartphone aux caractéristiques assez proches de celles du Nubia Z5 (écran 5 pouces, quadri cœur, extra fin…). Le Grand S, l’autre nom du Nubia Z5 ?

A quoi pourra bien servir la découverte d’un nouvel état magnétique de la matière ? Au stockage des données, aux batteries et, peut-être, aux communications.Le quantum spin liquid (QSL), un nouvel état magnétique de la matière, a été théorisé en 1987. Mais personne n’avait réussi à en trouver. Selon un article publié dans la revue scientifique Nature, les chercheurs du MIT Massachusetts Institute of Technology) ont travailler 10 mois sur un morceau de métal herbertsmithite pour le découvrir et en confirmer ainsi l’existence de cet état magnétique inédit.Le phénomène physique du magnétisme est connu depuis l’antiquité. Cet état de la matière, appelé ferromagnétisme, que l’on retrouve dans les magnets et les compas, est décrit scientifiquement comme comme étant l’alignement de la charge (spin) des électrons dans une seule direction. L’objet magnétisé présente donc deux pôles.

Un second état de ce phénomène a été découvert plus récemment : l’antiferromagnétisme. Dans cet état, les électrons pointent chacun dans le sens opposé de celui de son voisin, et ainsi de suite. La matière affiche ainsi un magnétisme à 0 (zéro). En informatique, les têtes des disques durs, sensibles au magnétisme, sont composées d’une combinaison des deux matières.Voici que les chercheurs du MIT viennent de découvrir un nouvel état de la matière, le QSL ou quantum spin liquid. Le matériau QSL découvert est un cristal solide dont les électrons affichent une orientation (magnétique) fluctuante à chaque fois qu’ils sont à proximité d’autres électrons… L’état magnétique interne est dans un état dit de flux constant. Les électrons ne peuvent rester en place, c’est l’effet quantum.C’est en analysant la structure de l’herbertsmithite, un matériau soupçonné de contenir du QSL mais qui n’avait encore jamais été étudié, soumis à un faisceau d’électrons, que les chercheurs ont pu confirmer son état de QSL, et ainsi découvrir physiquement la présence de ce nouvel état de la matière.

Comment ce nouvel état magnétique de la matière pourrait-il affecter notre monde ? Les chercheurs qui s’intéressent au QSL n’est savent rien. Tout juste pensent-ils qu’il pourrait être exploité pour le stockage de données, très friand de phénomènes magnétiques, ou encore dans les communications via le phénomène d’enchevêtrement longue portée.En Europe, certains chercheurs y voient un avenir dans les batteries, soit pour alimenter de très petits objets (devices) ou pour conserver de l’énergie plus efficacement que dans les batteries lihium-ion. Ils y voient une matière adaptée à l’atomique ou au subatomique, c’est à dire là où les règles de la mécanique traditionnelle, les lois de Newton par exemple, ne s’appliquent plus. Une dernière voie de recherche pourrait porter sur la supraconductivité à très grande température, par exemple pour assurer la conductivité en dessous de -200°…Le Wi-Drive est un étonnant petit périphérique sans fil, qui permettra aux terminaux mobiles de disposer d’une capacité de stockage complémentaire. Mais aussi aux PC, via quelques astuces que nous vous dévoilons en exclusivité.

Le Wi-Drive de Kingston Technology est un produit original. Ce disque externe est en effet un périphérique autonome, tel un NAS, mais accessible principalement en Wifi et fonctionnant sur batterie. Il est dédié aux terminaux mobiles : smartphones et tablettes.La société augmente aujourd’hui la capacité maximale de son “microNAS”, ce qui permet de proposer les trois modèles suivants :Les prix ont été relevés chez RAM Shopping, Kingston ne vendant plus ces produits en direct. Ils ne sont donc qu’indicatifs.Certes, le Wi-Drive est plus onéreux qu’un SSD, mais il se montre à peine plus volumineux (12,2 x 6,2 x 1 cm) qu’un disque dur 2,5 pouces, tout en proposant du stockage en réseau (Wifi 802.11g/n) et une fonction hotspot, bien utile pour pouvoir continuer à accéder au web. Le tout avec quatre heures d’autonomie.Des applications natives sont proposées pour les machines mobiles Apple (iPhone et iPad), les terminaux mobiles Android et les tablettes d’Amazon. Attention toutefois, car quelques limites sont présentes : un maximum de 3 utilisateurs simultanés et pas d’utilisation en sans-fil depuis un PC… à priori (voir plus bas).

Une prise USB 2.0 permet de recharger l’appareil et d’y écrire des données. Les débits ne sont toutefois pas folichons : entre 7 Mo/s et 8 Mo/s. Il ne faut donc pas oublier que le Wi-Drive n’est pas conçu pour des PC. Il faut le voir comme un disque dur externe pour terminaux mobiles, lesquels pourront utiliser ou streamer son contenu (photos, musique, vidéos).En creusant un peu, nous nous sommes aperçus que cet outil est plein de possibilités cachées. Depuis un PC, la connexion en Wifi est possible, mode passerelle Internet inclus.En vous connectant à l’adresse http://192.168.200.254/ vous pourrez accéder au contenu du disque interne du Wi-Drive et dans http://192.168.200.254/config/ à la configuration du périphérique.Mieux, nous avons découvert qu’une connexion en WebDav à l’adresse du serveur web du Wi-Drive permet de le monter comme un disque réseau (sans fil)… sans qu’il soit nécessaire d’installer un quelconque client.Attention toutefois, car des soucis ont été rencontrés avec le client WebDav de Windows 7, comme l’impossibilité d’envoyer et de récupérer des fichiers de grande taille (plusieurs dizaines de mégaoctets).

D’autres clients que celui intégré à Windows 7 semblent connaitre moins de soucis (c’est le cas de DAV Explorer, par exemple). Un sujet qui sera à creuser plus avant donc, mais qui ne semble pas insoluble, car il n’est pas lié à la configuration interne du Wi-Drive. En tout état de cause les applications natives Android/iOS sont exemptes de ce défaut.Chose sûre, le Wi-Drive est très ouvert. Ceci est d’autant plus vrai qu’un SDK est livré sous licence open source. Au cœur du Wi-Drive nous trouvons un composant tout-en-un Realtek RTL8196C comprenant une puce RISC MIPS, animée par un OS s’appuyant sur un noyau Linux 2.6.30.Il est difficile d’en trouver toutes les caractéristiques, mais il semblerait que ce composant soit cadencé à 400 MHz et qu’il propose au moins 2 Mo de Flash et 16 Mo de SDRAM. Le tout avec un module sans fil 802.11n à 150 Mb/s. De quoi imaginer plein de solutions réseau alternatives.Comme tout serveur qui se respecte, le Wi-Drive dispose de mises à jour logicielles. La dernière en date facilite l’utilisation du périphérique depuis un navigateur (en utilisant l’adresse http://192.168.200.254/). Vous la trouverez ici.

Contrairement à ce que le nom du fichier et les indications de l’outil de mise à jour supposent, aucun CD-Rom n’est créé ou requis. La procédure vise bien à mettre à jour le Wi-Drive, en direct. Connectez-le en USB à votre ordinateur, lancez l’outil de mise à jour, attendez (non, l’application n’est pas bloquée) et la mise à jour sera effective après quelques minutes.Dernier point : à la racine de la mémoire du Wi-Drive se trouvent des fichiers de configuration. Si par erreur vous veniez à les effacer, pas d’inquiétude : un simple redémarrage de l’unité de stockage et tout sera rentré dans l’ordre.Design réussi, puissance au rendez-vous, tarif très concurrentiel, l’Android Nexus 4 de LG n’est cependant pas exempt de petits défauts.Nos confrères de Gizmodo.fr ont eu l’opportunité de tester le Nexus 4 de Google fabriqué par LG. Un terminal qui a ravi la rédaction… surtout pour son prix.Rappelons en effet que le Nexus 4 est proposé à 299 euros dans sa version 8 Go et 349 euros la version 16 Go là où un iPhone 5 se négocie 679 euros et près de 500 un Galaxy S3. La comparaison n’est pas gratuite. Avec son processeur Qualcomm Snapdragon S4 Pro quadri cœur cadencés à 1.5 GHz et ses 2 Go de mémoire vive, le Nexus 4 en a dans le ventre.


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