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27/4/2017 - Batterie Asus A32-1015

Côté puissance, le Galaxy S4 devrait bénéficier d’un tout nouveau processeur beaucoup plus performant. Selon les dernières rumeurs, le terminal serait équipé d’un processeur quad-core cadencé à 2 Ghz, ce qui ferait de lui l’un des terminaux les plus puissants du marché.En ce qui concerne le design en revanche, pas question de changer une formule qui a parfaitement fait ses preuves. Samsung aurait choisi d’appliquer à nouveau sa recette minimaliste en optant pour un design très proche de celui du Galaxy S3. A l’image d’Apple, Samsung souhaiterait implanter un design de référence pour toute sa ligne de terminaux Galaxy, qui ne changerait que sensiblement d’une version à l’autre.Enfin, dernier élément et non des moindres, le Galaxy S4 serait également disponible au format Mini. Concrètement, les clients auraient le choix entre une version “complète” du produit, vendue probablement au prix de 700 à 800€, et une version “Mini” aux fonctionnalités revues à la baisse proposée à un prix plancher.Ce n’est un secret pour personne : Google lorgne depuis longtemps sur Windows 8. La popularité du tactile aurait poussé le géant à investir dans ce segment. Selon plusieurs sources, Google s’apprêterait à révéler son premier ordinateur tactile. Info ou intox?

S’ils ne sont pas encore disponibles chez nous, les Chromebooks gagnent en popularité outre-Atlantique. Récemment, Acer révélait que le Chromebook représentait désormais près de 10% de ses ventes d’ordinateurs. Connectés au Web en permanence, les Chromebooks sont en réalité des ordinateurs portables bon marché aux spécificités minimalistes.Depuis quelques heures, un mystérieux spot publicitaire circule sur la toile. Révélé par le développeur français Francois Beaufort, le spot présente un nouveau Chromebook tactile qui présente la caractéristique d’être équipé d’un écran très haute définition (2560×1700). « Tout ce que je sais c’est que le terminal est actuellement testé par Google. »Pour le moment, difficile de dire si le spot publicitaire est bel et bien une fuite ou une jolie mise en scène destinée à assurer la promotion d’un graphiste.Dans un cas comme dans l’autre, le lancement d’un Chromebook tactile ne devrait guère étonner les geeks ni les analystes. La rumeur a déjà été confirmée à plusieurs reprises, et ne laisse finalement planer que peu de doutes sur la stratégie du géant américain.

Reste donc à voir si Google prendra le risque de commercialiser son propre ordinateur tactile ou profitera à nouveau de l’un de ses partenaires, à l’image de ce qu’il avait fait déjà avec la Nexus 7.Autre inconnue : le prix et les fonctionnalités d’un tel terminal. Depuis ses débuts, le Chromebook est parvenu à s’imposer sur le marché grâce à son prix défiant toute concurrence. Simple d’utilisation, offrant une excellente autonomie et vendu à un prix très bas, le Chromebook est considéré comme un ordinateur complémentaire destiné principalement aux professionnels et aux étudiants. Difficile dans de telles conditions d’imaginer Google lancer un terminal haut de gamme, énergivore, à un prix nettement moins compétitif… A moins bien sûr, que le géant américain nous réserve d’autres surprises pour son IPO…Une photo du numéro 1 nord-coréen Kim Jong-Un le montrant en possession d’un smartphone suscitait un débat fiévreux mardi en Asie et plus particulièrement en Corée du Sud, où Samsung s’est empressé de dire qu’il ne s’agissait pas d’un de ses téléphones portables.

Une photo non datée de Kim Jong-Un rendue publique le 27 janvier 2013 (AFP/KCNA VIA KNS).La photo montre Kim, héritier de la dynastie communiste nord-coréenne fondée en 1948, présidant une réunion de hauts conseillers de défense et de sécurité la semaine dernière, vraisemblablement consacrée à la préparation d’un essai nucléaire. Sur la table, à la droite du dirigeant fumant une cigarette, un cendrier et un téléphone multifonctions (smartphone) noir.La presse sud-coréenne spécule sur la marque du téléphone. Pour certains médias il s’agit d’un Samsung, pour d’autres d’un HTC (Taïwan) et pour d’autres de l’iPhone d’Apple — Pyongyang fustige quasi quotidiennement son “ennemi juré” américain. Samsung, numéro un mondial des portables en termes d’unités écoulées, a immédiatement démenti qu’il puisse s’agir d’un Galaxy. “Ce n’est pas un téléphone Samsung“, a déclaré une porte-parole, suggérant un HTC. L’agence du renseignement sud-coréen a également conclu qu’il s’agissait très vraisemblablement d’un HTC.L’industriel taïwanais s’est refusée à confirmer l’information mais a assuré apprécier “le soutien de tous les consommateurs“.

Les Nord-Coréens vivent dans l’un des pays les plus isolés et censurés au monde. Ils n’ont pas accès à l’internet si l’on excepte une infime minorité de quelques centaines de personnes parmi l’élite et les étudiants, mais environ un million d’entre eux sont abonnés à un service de téléphonie mobile. Ils ne peuvent toutefois pas appeler l’étranger.Les portables ont été introduits en 2008 grâce à un partenariat avec le groupe de télécommunications égyptien Orascom et un intranet a été ouvert en 2002.Kim Jong-Un, qui serait âgé de moins de 30 ans, a pris la succession de son père, Kim Jong-Il, à la tête de l’Etat nord-coréen, à la mort de celui-ci en décembre 2011.On se souvient du Nikon COOLPIX S800C, le premier appareil photo compact sous Android. Devancé par son rival, Samsung ne voulait pas manquer le coche. Pour réussir la commercialisation de son premier compact sous Android, le géant coréen a donc décidé de lui offrir une visibilité hors du commun en intégrant son compact à sa gamme de terminaux Galaxy.

Arrivé second sur le marché des appareils photos sous Android, Samsung parvient néanmoins à se distancier du COOLPIX S800C de Nikon en proposant le premier appareil photo connecté, capable d’accueillir, à l’image d’un téléphone portable, une carte SIM.S’il est sans doute un peu en avance sur son temps, le Galaxy Camera n’en demeure pas moins une excellente idée. A l’heure où le partage instantané de l’information prédomine, Samsung propose un appareil photo capable de partager instantanément les photos sur le Web et les réseaux sociaux. Bien sûr, cela implique un plan tarifaire supplémentaire, et on imagine que seuls quelques photographes amateurs seront prêts à contracter un abonnement en Data, souvent fort onéreux, et à ajouter aux frais d’achat déjà relativement élevés de ce Galaxy Camera.

S’il s’agit bien d’un compact, le Galaxy Camera dispose de caractéristiques qui le situent à mi-chemin entre l’appareil photo et le smartphone. Côté performances, le Galaxy Camera assure avec son processeur quad-core cadencé à 1,4 Ghz. Avec une telle puissance, inutile de préciser qu’il pourra faire tourner pratiquement n’importe quelle application du Google Play. A l’image du S800C, le Galaxy Camera fonctionne en effet comme un smartphone Android traditionnel. Avec son écran tactile, il permet de naviguer simplement à travers les menus, de télécharger de nouvelles applications, de jouer à Angry Birds, et même de téléphoner via Skype si le coeur vous en dit!L’écran tactile de 4,8″ situé à l’arrière de l’appareil offre une expérience unique en son genre. En effet, il ne laisse aucune place pour des boutons sur la face arrière de l’appareil. Visuellement, le résultat est éblouissant. A chaque allumage, le Galaxy Camera nous rappelle qu’il dispose d’une identité qui lui est vraiment propre. Un joli visuel de la marque accueille l’utilisateur, avant de le diriger vers le menu Android. Pas question ici de se limiter à la photo, et le message est bien passé. Reste que cette orientation, aussi intéressante soit-elle pour les geeks, loupe quelque peu son coche, le temps d’allumage retardant à chaque fois la prise de vue suivante… Inutile de dire que si vous êtes du genre à “capturer l’instant présent”, vous risquez d’être plutôt déçu!

Si le Galaxy Camera assure côté affichage, design et interface, on reproche à Samsung de ne pas avoir fait de gros efforts côté photographie. Pour une photo standard, c’est tout juste si le Galaxy Camera fait mieux qu’un smartphone haut de gamme. En revanche, aussitôt qu’on passe en mode nocturne, en mode vidéo (Full HD, 30i/s) ou en zoom, le Galaxy Camera affiche des résultats nettement supérieurs à ce qu’on peut obtenir avec un mobile.Difficile de comprendre comment Samsung n’est pas parvenu à un meilleur résultat visuel. Le Galaxy Camera est équipé d’un capteur de 16 mégapixels, d’une stabilisation optique et d’un zoom optique 21x. En théorie, la qualité des clichés devrait écraser celle des compacts à 150€. En pratique, la différence est souvent difficile à voir. Avec le niveau de zoom maximum, le niveau de bruit et le flou de l’image explosent littéralement, pour un résultat qui vous poussera sans doute à vous contenter d’un plan beaucoup plus large. Pour le reste, si l’appareil fonctionne plutôt bien et est très agréable à manipuler, la qualité globale des clichés déçoit. Certes, c’est loin d’être catastrophique, mais pour un appareil photo qui était censé être un nouveau porte-étendard pour la marque, le résultat final est somme toute assez décevant.

Si on laisse de côté l’aspect purement photo, le Galaxy Camera s’en sort en revanche plutôt bien. Offrant une bonne autonomie, une interface soignée, des fonctions avancées et le support de nombreuses applications, il offre une expérience enrichie et s’impose comme un gadget qui fera fureur auprès des blogueurs et des accros aux réseaux sociaux.En revanche, difficile de voir les amoureux de la photographie s’y intéresser.Après Samsung, Lenovo et Acer, c’est désormais au tour d’HP de se lancer dans l’aventure Chromebook avec une déclinaison Chrome de son Pavilion 14, un ordinateur portable vendu à seulement 329,99$.Nous vous parlions le mois dernier de l’ascension fulgurante des Chromebooks, ces ordinateurs bon marché tournant sous l’écosystème de Google qui représentent désormais jusqu’à 10% des ventes de certains fabricants aux Etats-Unis. Pas encore disponibles chez nous, leur commercialisation a débuté dans une poignée de pays européens.Visiblement, HP s’est rendu compte du succès des Chromebooks et a décidé d’investir dans ce segment en commercialisant une déclinaison sous Chrome de son très populaire Pavilion. Prix au rabais oblige (329$), les caractéristiques techniques sont également revues à la baisse. L’appareil ne dispose que de 4 Go de RAM, d’un processeur d’1,1Ghz, et d’un SSD de 16 Go. Autrement dit, n’espérez pas faire autre chose que visionner des photos, regarder des vidéos et travailler avec ce modèle. Ceci étant dit, HP a néanmoins tenu à offrir une connectivité irréprochable à son terminal en intégrant une Webcam, trois ports USB, un port SD, et un port HDMI.

Taille d’écran plus large oblige, l’autonomie du Chromebook d’HP est inférieure à celle des autres Chromebooks. Le Pavilion d’HP devrait tenir à peine quatre petites heures, pour un minimum de six heures chez la concurrence. Un défaut que le Pavilion compense avec une meilleure lisibilité.Quoi qu’il en soit, l’annonce d’un Chromebook chez HP montre le souhait des fabricants d’ordinateurs de continuer à proposer des terminaux bon marché, un segment que Google pourrait bien conquérir aux dépens de Microsoft et de ses licences coûteuses…Apparu en 1992 au Japon, le MiniDisc est rapidement devenu une alternative très sérieuse au CD et à la K7, avant de voir ses ventes décliner au début des années 2000. 21 ans après son introduction, Sony annonce la commercialisation du dernier modèle de lecteur MiniDisc.Programmée depuis des années, la disparition du MiniDisc n’aura fait aucune vague. 21 ans après son lancement, le baladeur qui faisait fureur au Japon s’éteint dans l’anonymat.Considéré pendant des années comme un concurrent du Walkman et du DiscMan, le lecteur de MiniDisc a connu son apogée à la fin des années 90. Plus stable qu’un lecteur de disques portable et offrant des capacités de stockage développées (jusqu’à 1Go), il a malheureusement souffert de son format trop petit, qui rendait sa lecture impossible sur d’autres supports, mais aussi de la popularité du CD, qui l’a rapidement dépassé.

Cette semaine, Sony a annoncé la commercialisation du dernier lecteur MiniDisc, prévu pour le mois de mars prochain au Japon. Seulement quelques milliers d’exemplaires devraient être commercialisés, après quoi, le format sera considéré comme définitivement éteint.Après avoir stoppé la production de lecteurs MiniDisc en septembre 2012, Sony écoule donc ses derniers modèles à des prix qui seront très certainement bradés. Une aubaine pour les collectionneurs?Freddy Tougaux et son tube « Ca va daller » remportent actuellement un succès inattendu en France. Ce chanteur, innovant dans un style bien particulier, se rapproche des 1,5 millions de vues sur Youtube. Qui l’aurait cru ?Ce Louviérois de 44 ans au look ringard et décalé fait le buzz depuis son passage à l’émission « La France a un incroyable talent » sur M6. Le candidat « ovni » n’a pas été jusqu’en finale mais finalement a gagné bien plus, il a en effet séduit la France et les Français. Pour lui, cette participation à l’émission de M6 était plus pour la « déconne » que pour remporter une réelle victoire. Sa fierté c’est d’avoir récolté autant de vues sur Youtube.


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