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29/5/2017 - Batterie Asus A52J

C’est là où intervient le nouveau brevet déposé par Samsung. Ce dernier met en exergue un écran de smartwatch qui se prolonge en se projetant sur votre main. Avec l’espace supplémentaire, vous pouvez plus facilement contrôler ce qui est à l’écran, bien que vous pouvez avoir l’air un peu stupide tout en le faisant. Par exemple, vous pouvez obtenir des informations supplémentaires sur des points d’intérêt locaux sur les cartes, indique Samsung, ou encore être utilisé comme un moyen de signature numérique pour des documents.Selon le brevet, le dispositif comprendra une caméra, un processeur, et un projecteur qui sont capables de cartographier les différents domaines de la main d’un porteur et de projeter un affichage en fonction de ces paramètres. Par exemple, le dispositif pourrait projeter des boutons sur chacun de vos doigts.Il y a quelques heures, nous avons vu une expérimentation d’un système qui, à l’aide de votre propre peau, peut servir de moyen de contrôle d’une smartwatch. Dernière le brevet de Samsung, on retrouve quelques idées similaires, faisant usage de votre bras pour interagir avec le petit gadget se trouvant sur votre poignet.

Si une telle avancée était réellement mis dans les mains du grand public, cela réglerait l’un des principaux problèmes avec les smartwatches : leurs écrans sont si petits, qu’il est souvent plus facile de prendre un téléphone et l’utiliser à la place. Autrement dit, cela va à l’encontre du but de porter une smartwatch. Le brevet n’est pas seulement pour les smartwatches — il s’étend également aux casques, montrant que Samsung cherche à l’inclure dans de multiples dispositifs. Par exemple, le brevet montre des images projetées sur des produits ménagers, permettant à l’utilisateur d’interagir avec les images et contrôler tout ce qu’ils voient dans le casque.Bien évidemment, et comme avec chaque brevet, tout cela montre une partie de ce qui se passe dans les coulisses de Samsung. Néanmoins il n’y a aucune garantie que ce genre de technologie verra le jour. Pourtant, c’est le genre d’innovation que nous aimerions voir sur la prochaine vague de smartwatches.Vous pourriez bientôt voir une tonne de nouveaux appareils sur le marché qui fonctionnent avec Nest. La société vient de pousser le code de la technologie OpenThread en open source. OpenThread est fondamentalement comment Nest et les appareils liés se connectent à l’écosystème de la firme au sein de la maison. Ainsi, en ouvrant le code pour la technologie, les développeurs n’ont plus besoin de créer leur propre réseau.

OpenThread est une mise en œuvre du code du protocole réseau Thread, un protocole développé avec des partenaires comme Samsung ou encore Qualcommen 2014, dont le but est de remplacer des technologies comme le Wi-Fi et le Bluetooth, qui sont tout simplement pas assez bonnes. Ouvrir Thread vise essentiellement à accélérer le marché de l’Internet des Objets, et ainsi d’apporter une certaines concurrence à des projets comme ceux d’Amazon, qui ont trouvé un certain succès sérieux dans des appareils comme le Echo. Dès maintenant les développeurs peuvent simplement se rendre sur GitHub, et télécharger le code OpenThread à utiliser dans leurs produits. Les utilisateurs d’OpenThread sont encouragés à soumettre des propositions pour apporter des modifications au code, et les exigences liées aux propositions sont disponibles sur GitHub. Les utilisateurs auront également accès à des exemples de code. Enfin, ils pourront ouvrir des dossiers d’assistance sur GitHub, et trouver de l’aide sur le forum de discussion de Nest et sur StackOverflow.

Une fois qu’un dispositif ait conçu en utilisant OpenThread, le groupe de discussion approuvera la certification de l’appareil, fournissant aux développeurs l’accès au réseau et au cloud. La technologie Thread est conçue pour connecter les produits situés dans et à proximité de la maison par le biais de réseaux maillés sans fil à basse consommation. Idéalement, cela devrait aider les développeurs à créer des dispositifs sans avoir à se soucier de créer leurs propres réseaux. « Le protocole Thread permet à des appareils d’être connectés entre eux et au cloud de manière simple, sécurisée et fiable », déclare Greg Hu, responsable de la platforme Nest et du programme Works with Nest.Bien sûr, utiliser la technologie OpenThread ne signifie pas nécessairement que les dispositifs vont parfaitement avec les produits de Nest. Les développeurs auront toujours besoin de rejoindre le programme Nest s’ils veulent que leurs appareils s’intègrent avec Nest, au-delà de la simple utilisation du même réseau.Nest semble prendre la même route qu’Android a fait quand il a été lancé. Théoriquement, en publiant le code en open source, l’entreprise devrait attirer plus de développeurs pour créer des dispositifs pour un écosystème dirigé par Nest lui-même. Nest était une fois un leader incontesté sur le marché de la maison intelligente, mais au cours des dernières années, la firme semble avoir quelque peu perdu cela. Comme mentionné, Amazon a trouvé énorme succès avec le lancement de son enceinte connectée Echo, et peut-être que le succès d’Amazon est dû au nombre de services qui sont compatibles avec le Echo. Si Nest peut atteindre le même niveau de compatibilité, la firme pourrait facilement apporter une certaine concurrence à Amazon et d’établir un écosystème de maison intelligente à laquelle il faut compter.

Il est extrêmement difficile de contrôler un petit écran tactile sur une smartwatch. Mais, que diriez-vous si vous pouviez contrôler votre gadget en utilisant votre bras comme un trackpad ?Non non, vous ne rêvez pas ! C’est bien une telle innovation qui se cache derrière le SkinTrack, une technologie expérimentale qui permet de contrôler un périphérique, comme une smartwatch.En effet, elle serait capable d’analyser le glissement (swipe), le déplacement (drag), ou encore la pression et même des dessins faits sur votre peau comme si ces derniers étaient faits sur un écran tactile.La technologie de base derrière l’écran alimenté sur la peau est diverses électrodes qui peuvent lire un signal émis par une bague qui se tourne sur l’index de l’utilisateur. Les électrodes sont capables de lire l’axe X et Y sur votre peau par rapport à l’endroit où votre doigt (bague) est placé — même avec des vêtements — et traduire les mouvements en commandes.Créé par le groupe de Future Interfaces Group de l’université du Carnegie Mellon, SkinTrack est l’un des nombreux projets que l’équipe a dans ses cartons pour faire avancer la façon dont nous contrôlons notre technologie. D’autres idées vont de l’utilisation du son pour contrôler des vannes et des interrupteurs, à un gadget qui peut détecter ce que vous touchez.Alors que la technologie est impressionnante, les chercheurs voient toujours certaines limites qui devront être améliorées — en particulier l’état en constante évolution qu’est la peau humaine. De plus, les actions involontaires devront être prises en considération. Appeler accidentellement quelqu’un parce que vous vous grattez présente un véritable problème.

Motorola a ajouté deux nouveaux smartphones à la gamme Moto G, le Moto G4 et le Moto G4 Plus, et ils offrent tous les deux des spécifications assez impressionnantes pour une gamme de téléphones qui étaient jusqu’ici réservés au marché du bas de gamme.Le Moto G4 et le Moto G4 Plus disposent tous deux d’un écran de 5,5 pouces d’une résolution de 1 920 x 1 080 pixels, et doté d’un verre Gorilla Glass 4 de Corning, le rendant résistant aux rayures et éventuels accidents. Sous le capot, vous allez retrouver un processeur de Qualcomm, le Snapdragon 617, une puce octa-core, et une batterie d’une capacité de 3 000 mAh.Motorola a dévoilé les nouveaux smartphones lors d’un événement en Inde. Le nouveau Moto G a une conception similaire au Moto G (2015), avec des coques en plastique colorées qui peuvent être échangées si besoin. Vous pouvez également modifier la conception à votre goût avec le service de personnalisation de la firme, le Moto Maker.Le Moto G4 Plus a un capteur d’empreintes digitales sur la face avant du smartphone, et une caméra arrière de 16 mégapixels avec une détection de phase autofocus, un mode auto-HDR, un mode panorama, et un mode manuel. Le moins cher des deux, le Moto G4 possède quant à lui les mêmes caractéristiques de base, mais sans le capteur d’empreintes digitales, et à un appareil photo de 13 mégapixels qui s’avère moins impressionnant.

Moto G4 Plus : capteur d'empreintes digitales et capteur de 16 mégapixels Les deux smartphones fonctionnent sous Android 6.0 Marshmallow, qui est la dernière version du système d’exploitation mobile de Google, et arrive comme une version « pure », c’est-à-dire sans surcouche — hormis de mineures modifications.En France, le Moto G4 Plus sera disponible mi juin en deux configurations : un modèle avec 2 Go de RAM et 16 Go de stockage au prix de 269,90 euros, et un modèle de 3 Go et 32 Go de stockage. Le Moto G4 d’entrée de gamme sera uniquement disponible début juin avec 2 Go de RAM et 16 Go de stockage au prix de 229,90 euros.Les deux smartphones sont disponibles en noir ou blanc, et dispose d’un port pour insérer une carte micro-SD sous la coque arrière amovible du dispositif.Garmin est très actif sur le marché des dispositifs portables ces dernières semaines. La firme a récemment présenté la vívomove et la Forerunner 735XT, et aujourd’hui, Garmin a annoncé le bracelet d’activité vívosmart HR+.Le vívosmart HR+ est presque le même dispositif que le modèle de l’an dernier, le vívosmart HR, mais ajoutant quelques fonctionnalités très intéressantes. La nouvelle caractéristique la plus notable doit être la puce GPS, qui offre plus de précision en ce qui concerne le suivi de la distance parcourue, le temps, et le rythme des activités. Elle vous permet également d’afficher une carte de votre activité depuis le Garmin Connect.

Un GPS est un gros plus, mais l’inconvénient est que cela va affecter l’autonomie de votre dispositif. Vous allez avoir une autonomie d’environ 8 heures lorsque le GPS est activé, par opposition aux 5 jours quand il ne l’est pas. De plus, le vívosmart HR+ offre automatiquement la détection de l’activité grâce à la détection de mouvements Garmin Move IQ, et diverses autres donnée supplémentaires par rapport au modèle de base, le HR, telle que vos records personnels, l’Auto Pause (arrête et relance le chronomètre en fonction de la vitesse), ou encore l’Auto Lap (lance automatiquement un nouveau circuit).Le Garmin Move IQ surveille en permanence votre activité et peut détecter la marche, la course, le vélo et la natation. Il n’y a donc pas besoin de démarrer manuellement une activité chronométrée. Il suffit de commencer votre séance d’entraînement, et le vívosmart HR+ prendra soin du reste.Bien sûr, vous aurez les mêmes fonctionnalités présentes sur le modèle HR, qui comprennent la surveillance de la fréquence cardiaque 24/7, du sommeil, et offre une résistance à l’eau. Vous pouvez également utiliser l’application Garmin Connect sur votre smartphone, ce qui vous permet de suivre toutes vos séances d’entraînement, vos habitudes de sommeil, de rejoindre des défis en ligne, et d’atteindre vos objectifs.Le vívosmart HR + coûte 219,99 euros, et sera disponible au 2e trimestre 2016 sur le site Web de Garmin. Il est disponible en noir/gris requin, pourpre de Tyr/violet Kona, bleu nuit/bleu électrique en taille normale (Tour de poignet : de 136 à 192 mm). Si vous avez un poignet plus grand (180 à 224 mm), vous pouvez opter pour la taille extralarge en noir/gris requin pour le même prix.

Si le GPS et les autres fonctionnalités supplémentaires ne sont pas des composantes essentielles pour vous, le vívosmart — est toujours disponible et ne coûte que 149 euros, ce qui est une très bonne affaire.Microsoft a dévoilé son intention de doubler la quantité de publicités injectées dans le menu Démarrer dans Windows 10. Ce petit ajustement va arriver aux côtés de la future mise à jour de l’OS, à savoir l’Anniversary Update, qui devrait arriver au mois de juillet — marquant le premier anniversaire depuis que Windows 10 a été lancé en 2015.À l’heure actuelle, les utilisateurs peuvent s’attendre à voir cinq applications promotionnelles entrecoupées de leur propre contenu dès qu’ils ouvrent le menu Démarrer. Une fois la mise à jour de Windows 10, ce nombre d’applications promotionnelles passera à dix dans le menu Démarrer, et nul doute que les utilisateurs seront mécontents de ce genre de publicité intégrée.Microsoft a déclaré que toutes les applications promotionnelles préinstallées peuvent être complètement retirées du système, selon une publication de The Verge. La société a également confirmé que les applications mises en exergue peuvent être retirées à partir du menu Démarrer. Mais, il semble que cela ne se réfère qu’à des applications individuelles, plutôt que d’une option pour bloquer toute publicité.

Beaucoup ont été surpris lorsque Microsoft a annoncé son intention de libérer Windows 10 gratuitement, mais l’on voit maintenant les fruits de ses efforts. Cette forme de promotion du contenu pourrait être une proposition très attrayante pour les annonceurs, étant donné qu’il y a un public de 300 millions d’utilisateurs capable de regarder les publicités.Windows a longtemps été le système d’exploitation de choix pour les utilisateurs, mais maintenant il est en concurrence avec des systèmes d’exploitation mobiles comme Android et iOS. Dans ce nouveau paysage, une boutique d’applications prospère est vitale — et fournir aux utilisateurs une autre façon de découvrir de nouvelles applications est quelque chose que les développeurs vont accueillir à bras ouverts.Cependant, il reste à voir si oui ou non une injection de plus de publicités va nuire à l’expérience utilisateur. La mise à jour Anniversary Update marque aussi la fin pour la mise à jour gratuite des précédentes versions de Windows. Mais, des changements comme celui-ci ne manqueront pas de faire réfléchir à deux fois les traditionalistes avant de faire le grand saut.


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