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21/6/2016 - Batterie Dell Latitude D530

Comme d'autres ordinateurs sans batterie avant lui, le WISP puise son énergie dans l'air ambiant, en transformant les ondes électromagnétiques en électricité. Il fonctionne à ce titre comme un badge RFID, c'est-à-dire comme votre carte d'abonnement aux transports en commun ou comme votre carte d'accès à votre entreprise (voir aussi : Des salariés pistés avec leur porte-badge RFID). Au début des années 80, l'informatique commence doucement à investir les foyers. Cependant, le PC portable, tel qu'on le connaît aujourd'hui, n'existe pas vraiment. L'arrivée du Grid Compass 1101, en avril 1982, est une date importante, puisque c'est la première machine à proposer un concept d'écran "refermable", que les Anglo-saxons appellent astucieusement "clamshell" (palourde). Vendu la bagatelle de 8150 dollars, le GRiD Compass 1101 est un véritable monstre de puissance et se targue de proposer un écran de 6 pouces affichant une définition de 320 x 240 px. À l'intérieur, on y trouvait un processeur Intel 8086 cadencé à 8 MHz et 256 Ko de mémoire vive. Petite particularité : le stockage était assuré par 384 Ko de mémoire à bulle, un type de mémoire permanente en vogue au début des années 80, qui a rapidement disparu au profit des disques durs. À noter qu'il était à l'époque obligatoire de brancher la machine sur le secteur, et qu'un système de béquille pour soulever la partie basse permettait d'éviter la surchauffe. Bref, il y a plus de trente ans, le GRiD Compass 1101 fait presque figure d'OVNI, mais a tout de même connu un succès d'estime, notamment auprès de l'armée américaine et de la NASA. C'est d'ailleurs le premier laptop à aller dans l'espace en 1985 à bord de la navette Discovery.

Radio Shack, au début des années 80, c'est un peu l'équivalent nord-américain de la Fnac ou Darty en France : une chaîne de magasins dédiés aux produits électroniques. L'enseigne est rachetée en 1963 par Tandy Corporation, une compagnie qui a bâti sa fortune sur l'industrie du cuir, et qui s'est ensuite spécialisée dans l'informatique. De l'autre côté du Pacifique, au Japon, Kyocera est un géant de la technologie et sort le Kyotronic 85, un ordinateur portable au format très réduit, qui connaît un faible succès au niveau local. Le salut viendra des États-Unis quand Tandy décida d'importer le produit pour le vendre dans ses boutiques Radio Shack sous le nom TRS-80. Contre toute attente, les ventes sont très bonnes et l'on estime à 6 millions le nombre de déclinaisons du TRS-80 Model 100 écoulées à travers le monde. Et pourtant, la machine ne paie pas de mine : écran à cristaux liquides permettant d'afficher 8 lignes, processeur Intel 80C85 cadencé à 2,4 MHz, 8 Ko de mémoire vive et 32 Ko de mémoire ROM pour le stockage. Mais deux arguments imparables ont joué en sa faveur : jusqu'à 20 heures d'autonomie avec 4 piles AA et un prix de "seulement" 1099 dollars, qui est ensuite tombé à 799 dollars.

En 1989, Apple a déjà sorti de nombreux produits informatiques, plus ou moins farfelus et plus ou moins convaincants : écrans, imprimantes, scanners, lecteur de CD, modems… La marque à la pomme reste pourtant bel et bien un fabricant d'ordinateurs, mais n'a encore jamais proposé de laptop. Ce sera chose faite en septembre, avec l'arrivée du Macintosh Portable. Allez, on vous raconte directement la fin : ce premier portable est un échec, aussi bien technique que commercial, pour de multiples raisons. D'une, le produit est volumineux et lourd : 10 cm d'épaisseur, pour 7,1 kg. De deux, le Mac Portable est vendu au prix prohibitif de 6500 dollars, la version avec un disque dur de 40 Mo étant même facturée 7300 dollars. Ensuite, au moment de sa sortie, la presse regrette l'utilisation du processeur Motorola 68000, cadencé à 16 MHz, alors qu'au même moment, le Mac IIci carbure au Motorola 68030, tournant, lui, à 25 MHz. Bref, tout était à peu près réuni pour qu'Apple se plante avec ce premier ordinateur nomade. Pourtant, quelques qualités sont à relever : la présence d'une vraie interface graphique (le Système 6) et une batterie qui permet à la machine de fonctionner pendant 10 heures. Il est d'ailleurs intéressant de noter à quel point la firme de Cupertino a toujours accordé une importance cruciale à l'autonomie de ses laptops, jusqu'à aujourd'hui. Deux ans plus tard, le Macintosh Portable connaît une mise à jour conséquente (photo ci-dessus) avec l'arrivée d'un trackball en guise de système de pointage et d'un écran LCD rétroéclairé.

Le 17 octobre 1989, le journaliste Peter H. Lewis écrit dans le New York Times à propos des Compaq LTE et LTE/286 : "ce sont les premiers notebooks à combiner la puissance d'un ordinateur de bureau et un format léger, qui peut se glisser dans une mallette". Cette phrase résume parfaitement les nouveaux laptops de Compaq, un constructeur qui avait une très belle crédibilité à la fin des années 80 et durant toutes les années 90. La marque était ainsi parvenue à créer un PC complet, avec disque dur et lecteur de disquettes, dans un format A4, aussi appelé notebook. Ajoutez y un processeur Intel 8086 cadencé à 9,55 MHz ou 80286 à 12 MHz, 640 Ko de RAM, entre 30 et 40 Mo d'espace de stockage et un modem intégré de 2400 bauds, et vous comprendrez qu'il ne manque presque rien aux Compaq LTE pour être considérés comme très proches des ordinateurs portables de 2016. Bon, d'accord, l'écran n'affiche que des niveaux de gris et il manque un touchpad, mais on s'approche sérieusement du laptop moderne, d'autant plus que l'ensemble fait moins de 3 kg. Bref, en 1989, Compaq est un nom qui pèse dans l'industrie informatique, ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui, puisque la compagnie a été achetée par HP en 2001 et a depuis complètement disparu des radars.

CETTE SURFACE DE CONTRÔLE EST ÉTRANGEMENT SITUÉE AU-DESSUS DU CLAVIER.
Olivetti, voilà un nom qui ne vous dira peut-être rien si vous avez moins de 30 ans. Entreprise italienne fondée en 1908, Olivetti s'est tout d'abord spécialisée dans les machines à écrire, avant de prendre logiquement le virage de l'informatique dès le milieu des années 50. Durant les années 80 et 90, la firme parvient à se faire un joli nom sur le marché, en produisant énormément de modèles de PC de bureau. Côté laptop, le catalogue est bien moins fourni, mais on relève tout de même l'existence du D33, qui a la particularité d'intégrer un touchpad. Adieu souris filaire ou trackball, il suffit désormais de poser son doigt sur le châssis pour naviguer sur l'écran. Bon, en réalité, les choses ne sont pas aussi simples, puisque cette surface de contrôle est étrangement située au-dessus du clavier et donc pas vraiment accessible. Ceci peut s'expliquer par le fait que, en 1991, MS-DOS reste le système dominant et se manipule exclusivement au clavier. Windows 3.0 est disponible depuis un peu plus d'an et ce type d'interface graphique est encore très peu utilisé sur PC. L'ajout d'un touchpad semble ainsi tenir plus du gadget que de la caractéristique indispensable. Il faudra attendre le PowerBook 500 d'Apple, en 1994, pour que le touchpad prenne place sous le clavier et trouve donc toute son utilité. À noter qu'il existe un clone du D33, baptisé Walkstation 386-33, fabriqué par la marque allemande Triumph Adler.

Aujourd'hui propriété du géant Lenovo, la marque Thinkpad était, dans les années 90, le fer de lance d'IBM sur le marché du laptop. Parmi les nombreux modèles commercialisés durant cette décennie, on relève le 700C, qui se paie le luxe de proposer un superbe écran TNT de 10,5 pouces en couleurs, pouvant afficher 640 x 480 px. Du jamais vu à l'époque. La machine dispose aussi d'un processeur IBM 486 cadencé à 25 MHz (basé sur une architecture x86), 4 ou 8 Mo de mémoire vive et jusqu'à 120 Mo de disque dur pour le stockage. Sa batterie NiMH (ou accumulateur nickel-hydrure métallique en bon français) lui permettait également de tenir pendant 4 heures avant de devoir être rechargée. Côté conception, le designer Richard Dapper s'inspire des boîtes à cigares et imagine un simple rectangle qui "révèle quelque chose d'inattendu une fois ouvert". On note par ailleurs la présence du fameux TrackPoint, ce petit point rouge astucieusement placé au milieu de clavier, qui faisait office de système de pointage et qui a longtemps été le principal concurrent du touchpad. Lenovo l'a d'ailleurs conservé sur les derniers modèles de Thinkpad. Comme quoi, une bonne idée de design est intemporelle...

L'Asus UX305 est certes moins bien doté que le HP Spectre X360, tant en termes d'affichage qu'en puissance brute, mais cette dernière reste suffisante pour une utilisation de type bureautique, le surf Internet, etc. Il offre une finition et une qualité d'assemblage probante, une autonomie correcte, un SSD de 128 Go, une vraie connectique et une autonomie de 6h05. Petits plus, cet ultrabook est vendu avec une pochette de transport et un dongle USB/Ethernet. Grâce à ses mensurations particulièrement contenues (324 x 226 x 12,3 mm) et sa légèreté (1,2 kg), il peut se glisser dans n'importe quel sac.
Parmi les qualités de ce MacBook Air, une incroyable autonomie de 12h35 lors de notre test (visionnage d'une série en streaming sur Netflix, écran à 200 cd/m², rétroéclairage du clavier éteint, casque branché). De quoi tenir largement une journée de cours loin d'une prise de courant.

Sa compacité (30 x 1,7 x 19,2 cm pour 1,1 kg) lui permet d'entrer facilement dans la plupart des sacs, tout en étant capable d faire face à la plupart des tâches grâce à une configuration basée sur un processeur Intel Core i5 et un SSD. Seules petites ombres au tableau, une dalle de type TN (1440 x 900 px) qui n'offre pas une colorimétrie des plus justes et une connectique un peu limitée. Il n'est reste pas moins que ce portable peut faire un excellent compagnon de cours pour ceux qui en croque pour la pomme. Certains cursus demandent une machine puissante, apte à réaliser rapidement des tâches de traitement d'image, de vidéos, de modélisations, etc. Pour eux, il existe une solution mobile particulièrement adaptée : le MSI PX60. Ce 15,6 pouces, relativement compact (390 x 266 x 20,5 mm) et léger (2,1 kg) pour cette diagonale, intègre une configuration plus que convenable(processeur Intel i7 Quad Core, association SSD et HDD, carte graphique Nvidia GeFOrce GTX 950M). Cerise sur le gâteau, sa dalle IPS Full HD mate est la meilleure testée dans notre labo. Contrepartie de ces belles performances, une autonomie un peu faible (3h45 d'après notre test), et une ligne tarifaire forcément très élevée. Il reste malgré tout le meilleur choix pour ceux qui veulent allier puissance et mobilité.

De toutes les sources d’énergie future potentielles, reste la plus sulfureuse ou plutôt la plus radioactive, de toutes : le nucléaire. Sur ce point il est à noter que nos auteurs « optimistes » souvent cités dans ce dossier, Ramez Naam et Stewart Brand, se se montrent plutôt favorables à l’usage de l’énergie nucléaire, rejoignant ainsi un écologiste célèbre, James Lovelock, le père de « l’hypothèse Gaïa ». Je ne reviendrai pas sur leurs arguments, qui n’apportent rien d’original au débat (ils peuvent être résumés par la formule : « Tout plutôt que le carburant fossile ») et qui convaincront les convaincus en laissant les autres de marbre.

Que se passerait-il si l’on pouvait utiliser l’énergie atomique sans risque d’accident majeur ni de pollution, sans limites de ressources ? C’est le rêve de la fusion nucléaire, assez ancien, mais qui voit ces temps-ci se développer autour de lui une multitude de projets et d’acteurs nouveaux.

La fusion est un procédé très différent de la fission utilisée actuellement dans les centrales. Pour celle-ci, on utilise un matériau constitué de gros atomes comme l’uranium 235 (composé de 92 protons et de 143 neutrons), qu’on bombarde de neutrons. Lorsque l’atome d’uranium reçoit un neutron, explique un très pédagogique article de Wired, il se transforme en uranium 236, qui est instable et se brise en plusieurs parties. Il produit alors du krypton 92, du baryum-141 et deux neutrons « libres ». Si le nombre de particules élémentaires est bien respecté (141+92+2), la masse résultante se révèle, étrangement inférieure à celle de l’atome originel. C’est que cette masse manquante a été convertie en énergie (E=MC², vous vous rappelez ?), laquelle pourra être utilisée dans les centrales pour fournir de l’électricité. Les deux neutrons « libres » quant à eux, entreront en collision avec les d’autres atomes d’uranium pour continuer le processus, c’est ce qu’on appelle la réaction en chaîne.

La fusion fonctionne de façon exactement inverse : au lieu de casser de gros atomes, on réunit des petits atomes en les cognant les uns contre les autres. Lorsque deux atomes fusionnent, la masse résultante est, comme dans la fission, inférieure à celle des deux atomes originaux. Là encore, de l’énergie a été libérée lors de l’opération.

LA MARQUE NE LÉSINE PAS SUR LA QUALITÉ ET VEND SON PRODUIT PLEIN POT.
Il aura donc fallu attendre le début des années 2000 pour que les dalles des PC portables commencent à réellement prendre de l'ampleur. Alors que les écrans plats LCD apparaissent doucement sur les bureaux, Apple voit grand et profite du MacWorld Expo de janvier 2003 pour présenter le PowerBook G4 en version 17 pouces. La firme est cependant habituée à bousculer les conventions, puisqu'elle a commercialisé, deux ans auparavant, le PowerBook Titanium, premier laptop équipé d'un écran de 15 pouces. À travers un design qui préfigure largement ce que seront les futurs MacBook Pro (lancés en 2006), la marque ne lésine pas sur la qualité et vend son produit plein pot (prix de lancement de 3299 dollars, tout de même). Oui, le PowerBook G4 est un monstre de puissance, mais n'est finalement pas si encombrant que ça. Parvenir à concevoir un laptop de 17 pouces d'à peine plus de 3 kg, pour 2,6 cm d'épaisseur, en 2003, tient en effet presque du miracle. La machine accueille par ailleurs un processeur PowerPC G4 cadencé entre 1 et 1,6 GHz, 512 Mo de mémoire vive et un disque de 60 ou 120 Go. Également proposé en version 12 et 15 pouces, le PowerBook G4 est très certainement l'une des machines les plus influentes en matière de conception et façonnera en grande partie le marché du laptop sur les dix années suivantes. Il est cependant intéressant de relever qu'Apple a depuis abandonné le format 17 pouces au profit du 13 et du 15 pouces.

C'était il y a moins de 10 ans, et les choses ont encore bien évolué depuis. Un peu plus d'un an avant l'annonce de l'iPad, le tactile sur les PC portables tente tant bien que mal de séduire les utilisateurs. Si le Dell Latitude XT2 peut être considéré comme le véritable premier "convertible" du marché, c'est à HP que l'on doit le premier produit grand public du genre. Le Touchsmart tx2z sort ainsi fin 2008 et propose à la fois un mode "Tablet PC" et un écran tactile multipoint. L'accueil est pourtant assez froid. La presse regrette une autonomie au rabais et, surtout, une latence très gênante de la dalle tactile. Et, rappelons-nous que, à cette glorieuse époque, c'est l'affreux Windows Vista qui équipait en série les PC, soit un OS qui n'a jamais été pensé pour un usage au doigt. Bref, il n'y a pas grand-chose à sauver sur ce Touchsmart tx2z. Et pourtant, il mérite sa place dans ce dossier, car il a ouvert la voie à l'hybride, un format d'ordinateur portable aujourd'hui très en vogue.
Samsung lance aujourd’hui ses nouveaux smartphones haut de gamme, les Galaxy S7 et Galaxy S7 Edge. Vendus respectivement 700 et 800 €, ils affichent des caractéristiques techniques cohérentes avec leur prix. Leur batterie de, respectivement, 3 000 et 3 600 mAh promet une autonomie correcte, et leur chargeur rapide permet de faire le plein en 1 h et 1 h 30. Les deux smartphones sont par ailleurs résistants à l’eau et à la poussière. Malgré ces atouts, ils peinent à convaincre : rien n’est vraiment nouveau sur les fleurons de la marque coréenne. Voici nos premières impressions du Galaxy S7 Edge (vidéo) et quelques conseils si vous hésitez à craquer.

Notre journaliste s’est lancé le défi de vivre l’année 2016 sans produire de déchet. Et ça marche ! Après trois mois d’expérience, ceux qu’il n’a pas pu éviter tiennent dans ses mains. Et sa vie est - presque - normale. Découvrez la vie sans déchet...
Le « zéro déchet » a connu un boom ces dernières années : l’ouverture de magasins de vente en vrac combinée à l’émergence d’une figure emblématique, Béa Johnson, font que l’on peut désormais parler d’un mouvement. Mais, concrètement, qu’est-ce que ça fait de vivre sans poubelle ? Comment s’organise-t-on au quotidien ? C’est ce que j’ai essayé de savoir en me lançant dans l’aventure et en la racontant sur un blog. L’objectif de cette expérience est de garder le volume de déchets résiduels le plus proche de zéro au bout d’une année complète. Bonne résolution oblige, j’ai démarré au premier janvier.


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