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7/4/2017 - Batterie Fujitsu LifeBook LH700

Bien dans sa tête ? Vérifiez. Une équipe de chercheurs de l’Inria propose tout ce qu’il faut pour ça : un casque d’électroencéphalographie (EEG) pour mesurer l’activité du cerveau, une webcam pour vous filmer, un modèle numérique du cerveau humain et un écran d’ordinateur pour afficher le tout ensemble. L’activité de votre cerveau, représentée par des codes couleurs, est figurée en temps réel dans l’image numérique du cerveau, calée sur la position de la tête grâce à une caméra kinect, qui détecte les mouvements. En fonction de l’activité cérébrale, relaxation ou concentration, calcul mental, mouvement de la tête… le système, baptisé Mind-Mirror, figure des pics d’activités électriques, extrait certains rythmes cérébraux (ondes alpha, beta…), reconstruit l’activité interne du cerveau et propose même une analyse de l’état mental instantané (plutôt concentré ou plutôt détendu). Mind-Mirror présente l’originalité de coupler deux technologies : l’EEG en temps réel, qui détecte les signaux électriques du cerveau, et la réalité augmentée, qui fusionne ces données avec l’image de la tête captée par une caméra.

L’équipe d’Inria qui l’a développé (avec l’Irisa et l’Insa de Rennes), avait à l’esprit une utilisation précise de ce couplage inédit : le neurofeedback, c’est-à-dire une méthode qui, en visualisant l’activité cérébrale, permet au patient d’apprendre à mieux contrôler certaines activités ou certains états mentaux. Le neurofeedback est une technique très étudiée dans l’espoir de soigner diverses pathologies comme les troubles du sommeil ou de l’attention, la dépression, ou les séquelles d’accidents vasculaires cérébraux. Jusqu’ici, les systèmes de neurofeedback fonctionnent avec des 'jauges' qui indiquent au patient le niveau de certaines activités cérébrales. Notre système présente l’avantage de figurer l’activité directement sur le corps du patient, souligne Anatole Lécuyer, le responsable du projet à Inria. Ceci dit, Mind-Mirror vise aussi des applications dans la recherche et l’éducation, et même des applications ludiques. La même équipe est d’ailleurs à l’origine de OpenVibe, logiciel d’interface cerveau-ordinateur, qui vise notamment le jeu vidéo.

Mind-Mirror n’est encore qu’une preuve de concept, reconnaissent ses auteurs. Mais ses développements se poursuivent dans plusieurs directions. Le système sera amélioré, notamment sa précision et la qualité de l’affichage. En parallèle, des essais cliniques sont prévus dans le cadre du projet Hemisfer, avec des médecins, pour tester ses effets thérapeutiques contre la dépression et en rééducation motrice. Le prototype est déjà transféré à Mensia Technologies, une start-up spécialisée entre autres dans le neurofeedback, qui projette de sortir des produits issus de Mind-Mirror pour le traitement des troubles du sommeil et de l’attention. Une autre piste consisterait à utiliser non plus une image générique de cerveau, mais une image du véritable cerveau du patient, reconstruite à partir d’IRM, et toujours couplée avec les données de l’EEG. Une voie pour améliorer la résolution spatiale, et localiser plus précisément les zones du cerveau à l’origine d’une activité électrique. C’est l’option choisie par des chercheurs de l’université de Californie, dont le système GlassBrain associe IRM et électroencéphalographie. Mais, cette fois, sans réalité augmentée permettant d’introduire le corps du patient dans la boucle. Même hors du champ médical, les potentialités de ces systèmes sont énormes. Dans la finance, par exemple, si l’on en croit l’expérimentation lancée récemment à Los Angeles rapportée par Business Week.

26 traders, coiffés d’un casque d’EEG, ont effectué deux sessions de 90 minutes, afin d’observer leur activité cérébrale pendant les transactions. Pour une session, les traders avaient ingurgité auparavant un supplément nutritionnel censé améliorer les capacités de leur cerveau, pour l’autre un placebo. Le supplément nutritionnel était fourni par la société Trubrain, commanditaire de l’expérimentation. Les analyses sont en cours, avec ce système encore fruste : les traders n’avaient pas la possibilité, ni sans doute le loisir, de regarder leur cerveau en activité. Seule information rassurante, dans cette expérimentation : les transactions financières étaient simulées. Les laboratoires de Disney Research repoussent les limites de l’impression 3D en l’utilisant pour fabriquer des objets en laine. Les mêmes chercheurs proposent aussi, toujours par impression 3D, de fabriquer des haut-parleurs de n’importe quelle forme. Disney ne lâche pas son fonds de commerce : le monde de l’enfance. Mais les chercheurs de Disney Research ont l’art de mettre toutes les technologies les plus récentes au service de son univers traditionnel. Deux exemples, présentés tout récemment à CHI 2014, grande manifestation consacrée au facteur humain dans les systèmes numériques à Toronto (Canada), révèlent des possibilités encore inexploitées de l’impression 3D. Imprimer un nounours en 3D ?

Pas de problème, mais en plastique ou en métal… Les ingénieurs de Disney, eux, ont réussi à combiner l’avantage majeur de l’impression 3D - fabriquer un objet directement à partir d’un modèle numérique - avec un matériau bien plus traditionnel (et doux) : la laine. Ils ont donc conçu un sorte d’hybride entre l’imprimante 3D et la machine à coudre. Elle produit couche par couche, selon le principe des imprimantes 3D, des objets qui ont la particularité d’être mous, avec un toucher feutré. Dans beaucoup d’imprimantes 3D, la tête d’impression dépose un mince ruban de plastique fondu, pour former peu à peu l’objet à fabriquer. La tête de l’imprimante à nounours fait de même, mais avec un fil de laine. Puis la couche formée est liée à la précédente à l’aide d’une aiguille qui, en la perçant, entraîne des fibres et enchevêtre les deux couches. Ça marche bien avec la laine naturelle, voire mélangée, moins bien avec le coton, et pas du tout avec des fibres synthétiques, ont constaté les chercheurs de Disney : seule la microstructure de la laine naturelle donne un bon enchevêtrement, et donc une liaison assez solide entre les couches. Le procédé ne permet évidemment pas de réaliser n’importe quelle géométrie, mais il est tout de même possible de créer des objets avec des poches vides, par exemple pour recevoir un équipement électronique.

A CHI 2014, les labos Disney ont aussi présenté une méthode pour produire des haut-parleurs de formes quelconques, toujours grâce à l’impression 3D. C’est une imprimante 3D plus classique, cette fois, qui est mise à contribution, mais avec laquelle ils ont fabriqué les éléments constitutifs d’un haut-parleur électrostatique. Une technologie peu utilisée, mais qui a l’avantage d’être simple et sans pièces mobiles. Une électrode plane, une membrane conductrice, une couche d’air entre les deux : c’est un haut-parleur. L’idée des ingénieurs Disney est donc d’utiliser une imprimante 3D pour fabriquer ces éléments sous des formes diverses. Soit pour insérer facilement un haut-parleur dans un objet. Soit pour fabriquer un objet qui est lui-même le haut-parleur.

Dans la peau d'un grand chef. Le chef cuisiner anglais Jamie Oliver a publié, le dimanche 8 juin, une vidéo de sa première recette réalisée avec des Google Glass. Dotées d'une caméra, les lunettes connectées de Google permettent en effet de filmer en vue à la première personne. Une utilisation qui rappelle celle des caméras GoPro et qui permet de voir à travers les yeux d'une autre personne, comme dans cette vidéo où les champions de tennis Roger Federer et Stefan Edberg tapaient la balle lors d'une visite chez Google en mai dernier. Des millions de smart TV risquent à tout moment d'être piratées, à cause d'une faille de sécurité du nouveau standard industriel de diffusion de la télévision et d'Internet. Les deux chercheurs qui ont découvert ce nouveau type de piratage mettent en garde les fabricants d'objets connectés contre les risques de cyberattaques qui pèsent de plus en plus sur l'Internet des objets. Samedi soir, 21 heures. Les enfants de vos voisins du dessous allument leur télévision pour regarder Pékin Express. Ils ne sont pas les seuls : de nombreuses personnes du voisinage pratiquent cette activité, allongées sur leur canapé. Sans le savoir, toutes celles qui possèdent une smart TV, connectée à Internet, risquent de subir une cyberattaque d'un nouveau type. Elle a été baptisée par les deux chercheurs qui en ont découvert l'existence le red button flaw, en référence au signal lumineux présent sur les nouveaux appareils télévisés intelligents.

Yossi Oren et Angelos Keromytis travaillent au laboratoire de sécurité réseau de l'Université de Columbia aux Etats-Unis. Ils ont découvert qu'avec une simple antenne, un hacker pouvait collecter les données, le son et les images envoyées par un fournisseur d'accès à Internet à un poste de télévision. Il lui suffit de commettre une attaque de type intermédiaire, c’est-à-dire d'intercepter le signal émis par l'entreprise et de lire les data envoyées. Il peut ensuite émettre son propre signal, s'infiltrer dans le téléviseur et collecter les données fournies par l'utilisateur au FAI. Le pirate peut ensuite prendre le contrôle des applications web connectées à la télévision, et envoyer, par exemple, des messages sur les comptes Facebook et Twitter de ses propriétaires à leur insu. Selon l'étude rédigée en mai 2014 par les deux scientifiques, il suffirait d'investir 450 dollars dans une antenne bas de gamme, capable de capter et de produire des signaux, pour pirater 20 000 smart TV. Cette attaque est facile à perpétrer : une faille de sécurité rend vulnérable le nouveau standard industriel de diffusion de la télévision et d'Internet, sur les nouveaux téléviseurs connectés. Déployé depuis 2011, le Hybrid Broadcast Broadband TV (HbbTV) a été depuis adopté par plus de 90% des producteurs de télévisions connectées, selon une étude du cabinet de recherche GFK, reprise par SC Magazine.

Il permet notamment aux diffuseurs et aux publicitaires de cibler plus efficacement leurs publicités et d'ajouter des contenus interactifs à leurs programmes. Le consortium HbbTV, qui gère ce nouveau système, a pris connaissance de l'étude des scientifiques de Columbia. Ses membres ont estimé que le risque était insuffisant pour modifier ce nouveau standard. Selon les deux chercheurs, plusieurs millions de postes de télévision pourraient être concernés aujourd'hui. Ce nombre ne cessera d'augmenter, car les nouveaux appareils sont construits avec les mêmes normes. Le même système d'attaque de type intermédiaire pourrait être utilisé pour prendre le contrôle de nombreux autres objets connectés. Les voitures intelligentes, les compteurs électriques sont les exemples de nouvelles technologies qui vont bénéficier de la connectivité Internet, mais qui vont, du même coup, risquer de plus en plus d'être piratées, souligne David Emm, chercheur senior en sécurité au laboratoire Kaspersky, interviewé par SC Magazine. Selon un rapport du géant américain du stockage de données EMC et du cabinet de recherche IDC, en 2020, il y aura 32 milliards d'objets connectés sur la planète. Les deux chercheurs tirent la sonnette d'alarme dans la conclusion de leur étude : ils demandent aux fabricants d'objet connectés une vigilance maximale pour éviter les cyberattaques.

La start-up francilienne Lima va lancer la commercialisation, à la fin de l’année, de sa solution permettant d’unifier la mémoire de tous ses appareils électroniques. En entrant au capital, avec un apport de 2,5 millions de dollars, le fonds de capital-risque Partech Ventures lui permet de renforcer sa structure financière pour aborder cette nouvelle phase de son développement. La jeune société française avait fait sensation en juillet 2013. Elle avait réussi à réunir 1,2 million de dollars auprès de 12 800 personnes sur Kickstarter, la plateforme de crowdfunding américaine, devenant l’un des rares projets à dépasser le million de dollar. Aujourd’hui, Lima lève 2,5 millions de dollars en fonds propres auprès de Partech Ventures, le fonds de capital-risque basé à Paris et San Francisco. Les fonds de Partech arrivent dans la continuité de Kickstarter, explique Séverin Marcombes, le PDG et co-fondateur de Lima. Ils vont nous permettre de renforcer l’équipe et de passer à la commercialisation pour l’automne 2014.

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