BlogHotel.orgAccueil | Créer un blog | Imprimer la page Imprimer | Blog hasard Au hasard | Chercher des blogs Rechercher | Entrer dans le chat du blog Chat | | Jeux Jeux | Adminitration et édition du Blog Manager

A Propos

We provide high quality laptop batteries and adapter with low price, Brand new replacement batteries for laptop, lowest price and full 1 year warranty!

Articles
Acer um09g41 Battery
Akku Lenovo Ideapad y460g

Menu
Accueil
Mon Profil
Galerie
Archives
RSS Feed
Me Contacter

Amis

Liens


Article 324 sur 2361
Précédent | Suivant
25/4/2017 - Batterie pour ordinateur portable Dell 7FJ92

Cloud : le secteur public reste toujours timoré selon IDC Une récente enquête réalisée par le cabinet IDC auprès de responsables IT du secteur public a révélé que plus de la moitié des sondés ne disposent à l'heure actuelle pas d'un budget spécifique pour le cloud computing. De plus, dans les cas où un budget cloud existe, il ne dépasse pas les 15% du budget informatique total.Cette enquête fait partie d'un récent rapport d'IDC qui revient sur le rôle que peuvent jouer les différents types de cloud - public, privé et hybride - dans le secteur public. Celui-ci met en exergue le fait que le secteur public, s'il est conscient des bénéfices que peut apporter le cloud computing, est encore réticent à affronter le changement. Jan Duffy, directeur de recherche pour la région EMEA chez IDC, a relevé la nature conservatrice des administrations publiques: «Bien que nous observions une certaine volonté de passer au cloud, il est révélateur que plus de 75% des sondés aient indiqué n'avoir pas déployé, et n'avoir pas l'intention de déployer, de services cloud au cours des 12 prochains mois. Compte tenu des attentes exprimées par de nombreux responsables quant au rôle majeur que le cloud est appelé à jouer dans le domaine des administrations publiques, nous avons été surpris que les prévisions d'augmentations des budgets alloués au cloud ces trois prochaines années soient aussi minimes».

Parmi les chiffres clés de cette enquête, 46% des sondés estiment que des préoccupations sécuritaires entravent actuellement l'adoption du cloud dans les administrations publiques, et près de 37% des sondés estiment que les lois et réglementations en vigueur empêchent le déploiement de services cloud au sein de leur département ou de leur ministère. En outre, plus de 50% des sondés estiment que l'utilisation de services cloud réduirait le volume de données sauvegardées sur des ordinateurs portables et autres terminaux personnels, et donc le potentiel de pertes de données. Enfin, selon les sondés, le recours à un cloud public est avant tout pertinent pour la gestion globale de l'IT, pour le back-up des données et l'archivage ainsi que pour le développement et le test d'applications. La pertinence du cloud privé est pour sa part relevée pour le back-up de données, l'archivage ainsi que pour les services on-demand concernant la capacité des serveurs ou de stockage. Pour réagir à la Loi Lagarde, Franfinance (Groupe Société Générale) dématérialise en totalité son processus de souscription de crédit à la consommation. Les vendeurs comme les clients gagnent ainsi du temps et la banque espère gagner, elle, en parts de marché.

Dans un autre registre, le cloud pourrait aussi éliminer tous les risques liés à la consumérisation IT. Un phénomène qui touche de nombreuses entreprises. En effet, les salariés utilisent régulièrement leurs propres équipements informatiques (smartphones, PC portables, etc..) qui représentent d'ailleurs le futur poste de travail nomade. Les services informatiques ne doivent plus ignorer ce phénomène, mais bien au contraire, ils doivent trouver un juste équilibre entre ce que le salarié peut faire et ce qu'il ne doit pas faire. Un choix stratégique pas si simple à appréhender ! Le 12 avril prochain, Jean-Michel Soyez, président du Club DSI Gun, Christophe Laloyer, directeurs des systèmes d'information de Kiloutou, Florent Plonquet, responsable des systèmes d'information de Rouge-Gorge Lingerie, Anthony Seifert, directeur des systèmes d'information de Pay-Back Group, et bien sûr notre journaliste Benoit Huet, en charge des dossiers au Monde Informatique, débattront sur ces thèmes. Diffusée en live sur le site du Monde Informatique, l'émission sera animée de mains de maître par Marc Lionel Gatto de MLG Consulting. Le rapport publié cette semaine par un inspecteur général de la NASA sur la sécurité informatique de l'agence spatiale américaine montre que celle-ci doit améliorer ses pratiques. En 2010 et 2011, plus de 5 400 incidents de sécurité ont été répertoriés.

Des ordinateurs portables au contenu non chiffré, des logiciels en défaut de mise à jour et des intrusions avancées risquent de mettre en danger le savoir-faire des techniciens américains si la NASA ne renforce pas sa sécurité IT. C'est ce que pointe un rapport publié mercredi dernier par l'inspecteur général de l'agence spatiale, Paul K. Martin. La National Aeronautics and Space Administration est la cible régulière de cyber attaques. Ses plus de 550 systèmes renferment des informations très recherchées par les criminels, souligne l'inspecteur général. Son témoignage, devant un sous-comité du Comité des Sciences, de l'Espace et de l'Aéronautique de la Chambre des représentants des Etats-Unis, a récapitulé les précédents audits de l'inspecteur général sur la sécurité IT de la NASA et propose des recommandations pour l'agence spatiale. En 2010 et 2011, celle-ci a signalé 5 408 incidents de sécurité informatique, découlant de logiciels malveillants installés sur ses systèmes ou d'intrusions, écrit Paul K. Martin. Le vol de données a coûté à l'agence plus de 7 millions de dollars, poursuit-il en ajoutant que la NASA doit améliorer la surveillance de l'ensemble de ses actifs IT.

L'un des problèmes concerne les ordinateurs portables. Seulement 1% de ceux de la NASA et des terminaux portables bénéficient du chiffrement. Entre avril 2009 et avril 2011, 48 terminaux mobiles contenant des données sensibles ont été perdus ou volés. Selon un audit de mai 2010, seulement 24% des ordinateurs utilisés sur le réseau d'une mission étaient surveillés pour bénéficier des mises à jour critiques sur les logiciels, et seulement 62% étaient contrôlés pour détecter des failles techniques.Au cours de l'exercice fiscal 2011, la NASA a également été la cible de 47 menaces avancées répétées ou de cyber attaques qui n'avaient pas été détectées pendant longtemps et qui visaient à voler des données. Treize de ces attaques ont réussi à compromettre des ordinateurs de l'agence, a indiqué Paul K.Martin. L'une d'entre elles a permis aux intrus de dérober les certificats de plus de 150 employés de la NASA qui auraient pu être utilisés pour récupérer des données dans les systèmes de l'agence.

Une autre attaque, perpétrée à partir d'une adresse IP basée en Chine, ciblait le Jet Propulsion Laboratory. Ceux qui l'ont mené ont eu un accès complet à des systèmes JPL clés et à des comptes utilisateurs sensibles. « Les attaquants ont eu un contrôle fonctionnel total sur ces réseaux », mentionne le rapport.Dans un autre domaine encore, les auditeurs ont découvert que la NASA n'avait pas correctement supprimé les données sur les ordinateurs ayant été utilisés pour le programme de la navette spatiale avant de mettre les machines en vente. Les enquêteurs ont également trouvé quantités de disques durs dans une benne non sécurisée accessible au public dans l'un des centres. Il existe déjà des méthodes relativement pratiques pour détecter les torticolis oculaires, mais des chercheurs coréens viennent de rendre la tâche beaucoup moins onéreuse en utilisant le pouvoir des manettes Wii de Nintendo. Le symptôme toucherait 1,3% des enfants, et l'une des méthodes pour le détecter rapidement consiste à mesurer la posture de la tête.

La tâche peut sembler aisée, mais ce n'est pas si simple sur des marmots qui ne restent pas tranquilles. L'une des solutions pour contourner ce problème consiste à positionner un outil de mesure léger, relié à un boîtier, sur le sommet de la tête du patient pour suivre les changements de position des cervicales.Pour ce faire, le corps médical a habituellement recours à un dispositif de type CROM, également employé pour évaluer les problèmes de colonne vertébrale, dont le prix oscille entre $400 et $600. Deux manettes Wii, à $40 pièce, et un ordinateur portable peuvent pourtant remplacer le boîtier de l'installation, comme en témoigne l'étude du Dr Jeong-Min Hwang et de son équipe de chercheurs de la Seoul National University College of Medicine, annoncée le 8 mars et publiée dans la revue Investigative Ophthalmology & Visual Science.

Les capteurs infrarouges et les puces bluetooth intégrés aux WiiMotes peuvent remplacer la technologie logée dans les boîtiers des appareils CROM, et l'équipe du Dr Hwang a relevé que les résultats obtenus n'étaient pas tellement éloignés de ceux d'une installation CROM complète.Ils espèrent donc que les "hautes performance, le côté pratique et le petit prix" de leurs nouveaux dispositifs à base de manettes Wii, baptisés Infrared Optical Head Tracker, vont se banaliser dans le monde médical. L'achat depuis un téléphone mobile, communément appelé « m-commerce », est loin d'être devenu une habitude des consommateurs en France. Selon une récente étude Ipsos pour Google, seuls 24% des Français ont déjà passé commande via leur smartphone, à l'inverse des Japonais, qui sont déjà 40% à procéder ainsi.En France, seuls 4% des mobinautes effectuent des achats quotidiens via leur téléphone portable, qu'il s'agisse de produits ou de services. Dans le même temps, la fréquence est mensuelle pour 38% de répondants.

Plutôt que d'acheter, les Français préfèrent utiliser leurs smartphones comme un outil pratique permettant de profiter des meilleurs avantages. 26% des consommateurs concernés pensent bien à garder leur appareil sur eux pour comparer les prix et obtenir des informations en cas d'achat. D'ailleurs, 19% disent avoir changé d'avis sur un achat dans un magasin après avoir consulté Internet.Cette enquêté a été menée dans six pays (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Espagne, Japon) en janvier 2012. Un échantillon de 1.000 Français a été retenu. Le cabinet IDC s'attend à 5% de hausse pour les ventes de PC dans le monde en 2012. Derrière ce chiffre global, se cachent des différences entre régions, et plusieurs faiblesses de fond pour la croissance de ce secteur.2011 a connu une croissance modeste, remarque le cabinet IDC, avec 1,8% de hausse des ventes de PC. Le début 2012 est dans la même ligne, mais le deuxième semestre de l'année devrait voir un réveil des ventes. Réveil modeste, dû au lancement de Windows 8 et aux nouveaux PC portables ultra minces.

  1. http://akkusmarkt.blogs.lalibre.be/
  2. http://retrouve3.blogolink.com/
  3. http://gegensatz.mixxt.at

Laisser un Commentaire! :: Envoyer à un ami!


Blog suivant >> Signaler un abus?Haut de page